Le Fonds souverain russe, ayant financé la conception du sérum phare de Moscou, a indiqué que le prestigieux Institut Gamaleïa « a déjà commencé à développer une nouvelle version du vaccin Spoutnik adaptée à Omicron », notant que la Russie serait prête à « fournir des centaines de millions de doses de rappel contre le variant Omicron pour le marché international d'ici le 20 février dans le cas improbable où le sérum actuel ne suffirait pas.
Les Russes ne sont point les seuls à essayer de trouver une nouvelle formules pour le nouveau variant, des concurrents occidentaux, notamment les laboratoires américains Pfizer et Moderna, ont également annoncé leur intention de développer des versions adaptées au nouveau variant du coronavirus nommé Omicron.
Bien que le Spoutnik V soit utilisé dans plusieurs dizaines de pays et que sa fiabilité ait été validée par la prestigieuse revue médicale « The Lancet », ce vaccin n'a, jusqu'à maintenant, été homologué ni par l'Organisation mondiale de la santé, ni par les autorités médicales de l'Union européenne et des États-Unis.
Les Russes ne sont point les seuls à essayer de trouver une nouvelle formules pour le nouveau variant, des concurrents occidentaux, notamment les laboratoires américains Pfizer et Moderna, ont également annoncé leur intention de développer des versions adaptées au nouveau variant du coronavirus nommé Omicron.
Bien que le Spoutnik V soit utilisé dans plusieurs dizaines de pays et que sa fiabilité ait été validée par la prestigieuse revue médicale « The Lancet », ce vaccin n'a, jusqu'à maintenant, été homologué ni par l'Organisation mondiale de la santé, ni par les autorités médicales de l'Union européenne et des États-Unis.