Alors que plusieurs médias internationaux et leaders politiques dénoncent «les attaques russes contre les civils en Ukraine», le représentant de la Russie à l’ONU a déclaré que «Le président Poutine et le ministère russe de la Défense ont explicitement et clairement déclaré qu'il n'y aurait pas de frappes ciblant les infrastructures civiles, mais les nationalistes utilisent déjà des civils comme boucliers humains».
Parlant du projet de résolution du Conseil de Sécurité visant Moscou, qui a été soumis vendredi et auquel la Russie a opposé son veto, le diplomate l'a qualifié de «geste brutal et inhumain dans cet l’échiquier ukrainien».
«Ces méthodes sont activement utilisées par des terroristes supervisés par la CIA au Moyen-Orient et dans d'autres pays», a-t-il martelé.
Il est à noter que l’Ukraine est actuellement soutenue par l’Union européenne, les États-Unis, le Royaume-Uni, le Japon, le Canada, l’Australie et la Suisse qui annoncent à tour de rôle des sanctions contre la Russie. Pour sa part, la Russie est soutenue par la Chine dont le ministre des Affaires étrangères, Wang Yi, a annoncé qu’il comprenait les préoccupations de sécurité légitimes de la Russie. Parmi les autres soutiens de Vladimir Poutine, on retrouve la Biélorussie, le Venezuela, le Kazakhstan, membre de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), en plus de Cuba, le Brésil et la Syrie.
Parlant du projet de résolution du Conseil de Sécurité visant Moscou, qui a été soumis vendredi et auquel la Russie a opposé son veto, le diplomate l'a qualifié de «geste brutal et inhumain dans cet l’échiquier ukrainien».
«Ces méthodes sont activement utilisées par des terroristes supervisés par la CIA au Moyen-Orient et dans d'autres pays», a-t-il martelé.
Il est à noter que l’Ukraine est actuellement soutenue par l’Union européenne, les États-Unis, le Royaume-Uni, le Japon, le Canada, l’Australie et la Suisse qui annoncent à tour de rôle des sanctions contre la Russie. Pour sa part, la Russie est soutenue par la Chine dont le ministre des Affaires étrangères, Wang Yi, a annoncé qu’il comprenait les préoccupations de sécurité légitimes de la Russie. Parmi les autres soutiens de Vladimir Poutine, on retrouve la Biélorussie, le Venezuela, le Kazakhstan, membre de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC), en plus de Cuba, le Brésil et la Syrie.