En effet, depuis peu, de découvertes des vastes réserves gazières ont été observées au Nigeria, en Côte d'Ivoire, au Sénégal et en Mauritanie. Ces récentes découvertes soulignent l'urgence de la mise en œuvre du projet gazoduc Nigeria-Maroc, important pour l'Afrique.
D’un coût de 25 milliards de dollars et une longueur de 5700 km, la production des gisements gaziers de la Côte d'Ivoire, du Sénégal et de la Mauritanie contribuera à l'approvisionnement européen par le gazoduc Nigeria-Maroc, tandis que le projet favorisera l'intégration régionale et le développement économique.
La création de ce gazoduc constitue un axe stratégique pour l'Afrique de l'Ouest, favorisant l'électrification, la satisfaction des besoins en gaz domestique et l'arrêt des pratiques polluantes comme le torchage de gaz. En sécurisant un approvisionnement compétitif pour l'Europe, il promet des retombées positives pour toute la région.
L'extension du gazoduc existant dans la zone de la Communauté économique des États de l’Afrique de l'ouest (Cedeao), va permettre l’augmentation de la capacité de 20 à 46 pouces à partir du Togo. Un débit optimal pour acheminer les ressources gazières de la région.
Les réserves notables, notamment, celles du Nigeria, peu exploitées jusqu'à présent, prennent une importance cruciale avec l'instabilité géopolitique mondiale du gaz. La diversification des sources d'approvisionnement européennes ouvre des opportunités pour les pays de la région.
Initié par le Maroc et le Nigeria, le projet du gazoduc a avancé rapidement depuis le protocole d'accord signé en 2016, indique- t-on.
D’un coût de 25 milliards de dollars et une longueur de 5700 km, la production des gisements gaziers de la Côte d'Ivoire, du Sénégal et de la Mauritanie contribuera à l'approvisionnement européen par le gazoduc Nigeria-Maroc, tandis que le projet favorisera l'intégration régionale et le développement économique.
La création de ce gazoduc constitue un axe stratégique pour l'Afrique de l'Ouest, favorisant l'électrification, la satisfaction des besoins en gaz domestique et l'arrêt des pratiques polluantes comme le torchage de gaz. En sécurisant un approvisionnement compétitif pour l'Europe, il promet des retombées positives pour toute la région.
L'extension du gazoduc existant dans la zone de la Communauté économique des États de l’Afrique de l'ouest (Cedeao), va permettre l’augmentation de la capacité de 20 à 46 pouces à partir du Togo. Un débit optimal pour acheminer les ressources gazières de la région.
Les réserves notables, notamment, celles du Nigeria, peu exploitées jusqu'à présent, prennent une importance cruciale avec l'instabilité géopolitique mondiale du gaz. La diversification des sources d'approvisionnement européennes ouvre des opportunités pour les pays de la région.
Initié par le Maroc et le Nigeria, le projet du gazoduc a avancé rapidement depuis le protocole d'accord signé en 2016, indique- t-on.