Un homme, une histoire… Un dirigeant sportif pas comme les autres… Une passion pour le basket, une autre pour le football… Il aimait les basketteurs, il adorait les footballeurs. Il vivait avec les membres des comités des clubs, il avait des contacts avec les arbitres de tout le Maroc.
M. Mohamed Mettioui avait de l’estime partout de Tanger à Lagouira pour avoir contribué à l’épanouissement du sport de la balle orange puis du ballon rond. On le retrouvait durant plusieurs années à la tête de l’IRT basket, de l’IRT football et enfin du bureau de la Ligue du nord comme secrétaire général, comme vice-président ou comme simple membre d’une commission.
Président, il n’en voulait jamais. Comme il n’a jamais cessé de le dire, il préfère travailler à l’ombre. Les premiers mandataires de l’IRT Mohamed Arsalane, Larbi Bouras, Abdelhak Bakhat se plaisaient à lui confier des postes clés. Ils voyaient en lui l’homme capable à tout faire.
Dans sa vie professionnelle comme cadre de l’Education Nationale, il a occupé plusieurs responsabilités : répétiteur, enseignant, économe, surveillant général, directeur avant d’avoir eu l’honneur d’être nommé Secrétaire Général de la Délégation de l’enseignement de Tanger.
Pédagogue, éducateur, conseiller, il a servi son pays avec dévouement, fidélité et beaucoup de courage. Parlant et écrivant bien en arabe classique, français et espagnol, Si Mohamed Mettioui est toujours partisan de l’école de la francophonie. Il a eu la chance d’avoir étudié dans un établissement franco-arabe où déjà au primaire, il y avait au programme la poésie de Rimbaud, les Caractères de La Bruyère, les Misérables de Victor Hugo ou les Rêveries d’un promeneur solitaire de Rousseau. C’était l’époque de « Azzamane al Jamil » dans l’apprentissage de la langue de Molière.
Pour lui donner un vibrant hommage de reconnaissance, la mairie avec son président de la commission de la culture et du sport Abdelouahid Boulaich, ex président de l’IRT basket, a organisé une grande soirée au cours de laquelle, il y avait la lecture de plusieurs témoignages des amis proches et des journalistes.
Assistaient à la réception Abdelouahed Aazibou, directeur de la culture, Abdelhak Bakhat, directeur du Journal de Tanger, Mohamed Samadi président de la section régionale de la presse sportive, Abdelouahed Boulaich et plusieurs représentants de la mairie. Si Mohamed Mettioui, fatigué, bien qu’affaibli par la maladie, s’est déplacé à la Maison de la Jeunesse pour rencontrer et saluer les Tangérois qui ont partagé avec lui beaucoup de souvenirs.
Tout le monde sportif de Tanger se rappelle son apparition au journal télévisé de la télévision espagnole, il y a quelques années, lorsqu’il était en déplacement avec l’IRT football en Espagne. Avec un espagnol d’éloquence, il avait la mission difficile d’expliquer l’affaire des trois footballeurs disparus en pleine concentration à la recherche d’un emploi. Que Dieu lui donne une bonne santé et une longue vie.
M. Mohamed Mettioui avait de l’estime partout de Tanger à Lagouira pour avoir contribué à l’épanouissement du sport de la balle orange puis du ballon rond. On le retrouvait durant plusieurs années à la tête de l’IRT basket, de l’IRT football et enfin du bureau de la Ligue du nord comme secrétaire général, comme vice-président ou comme simple membre d’une commission.
Président, il n’en voulait jamais. Comme il n’a jamais cessé de le dire, il préfère travailler à l’ombre. Les premiers mandataires de l’IRT Mohamed Arsalane, Larbi Bouras, Abdelhak Bakhat se plaisaient à lui confier des postes clés. Ils voyaient en lui l’homme capable à tout faire.
Dans sa vie professionnelle comme cadre de l’Education Nationale, il a occupé plusieurs responsabilités : répétiteur, enseignant, économe, surveillant général, directeur avant d’avoir eu l’honneur d’être nommé Secrétaire Général de la Délégation de l’enseignement de Tanger.
Pédagogue, éducateur, conseiller, il a servi son pays avec dévouement, fidélité et beaucoup de courage. Parlant et écrivant bien en arabe classique, français et espagnol, Si Mohamed Mettioui est toujours partisan de l’école de la francophonie. Il a eu la chance d’avoir étudié dans un établissement franco-arabe où déjà au primaire, il y avait au programme la poésie de Rimbaud, les Caractères de La Bruyère, les Misérables de Victor Hugo ou les Rêveries d’un promeneur solitaire de Rousseau. C’était l’époque de « Azzamane al Jamil » dans l’apprentissage de la langue de Molière.
Pour lui donner un vibrant hommage de reconnaissance, la mairie avec son président de la commission de la culture et du sport Abdelouahid Boulaich, ex président de l’IRT basket, a organisé une grande soirée au cours de laquelle, il y avait la lecture de plusieurs témoignages des amis proches et des journalistes.
Assistaient à la réception Abdelouahed Aazibou, directeur de la culture, Abdelhak Bakhat, directeur du Journal de Tanger, Mohamed Samadi président de la section régionale de la presse sportive, Abdelouahed Boulaich et plusieurs représentants de la mairie. Si Mohamed Mettioui, fatigué, bien qu’affaibli par la maladie, s’est déplacé à la Maison de la Jeunesse pour rencontrer et saluer les Tangérois qui ont partagé avec lui beaucoup de souvenirs.
Tout le monde sportif de Tanger se rappelle son apparition au journal télévisé de la télévision espagnole, il y a quelques années, lorsqu’il était en déplacement avec l’IRT football en Espagne. Avec un espagnol d’éloquence, il avait la mission difficile d’expliquer l’affaire des trois footballeurs disparus en pleine concentration à la recherche d’un emploi. Que Dieu lui donne une bonne santé et une longue vie.