La chambre criminelle près de la Cour d’appel de Béni Mellal a rendu sa sentence, ce mardi 21 septembre, contre 14 accusés. Des peines allant de 1 an de prison avec sursis à 20 ans de réclusion ont été prononcées par la chambre criminelle de Béni Mellal. Par ailleurs, les 14 accusés ont été condamnés à verser, solidairement, 200.000 DH de dédommagement à la victime qui a renoncé à son désistement de plainte.
Dans les détails, onze accusés ont ainsi écopé d’une peine de 20 ans de prison ferme, tandis qu’un prévenu mineur a été condamné à 3 ans de prison et deux autres poursuivis en état de liberté ont écopé de deux ans fermes et un an avec sursis.
Pour rappel, les faits remontent à 2018 lorsque Khadija, mineure à l’époque, avait porté plainte pour séquestration et viol contre une dizaine d’agresseurs. La jeune fille déclarait en avoir été victime pendant deux mois à Oulad Ayad, dans la région de Béni Mellal.Suite à ces événements dramatiques, la jeune fille a été placée sous les feux des projecteurs, les images de son corps avec tatouages et traces de cigarettes causés, selon elle, par ses agresseurs avaient ému et indigné le monde entier. L’avocat de l’adolescente, Me Brahim Hachane, avait demandé « une expertise médicale pour définir ses séquelles psychiques et physiques » au juge d’instruction chargé de l’affaire au parquet de Beni Mellal.
À l’époque, une pétition pour lui venir en aide et obtenir « justice pour elle » a recueilli plus de 50.000 signatures en quelques jours. Des propositions d'interventions médicales gratuites ont afflué, selon la NSAT, une association d'aide aux femmes victimes de violences qui a décidé de la soutenir.
Dans les détails, onze accusés ont ainsi écopé d’une peine de 20 ans de prison ferme, tandis qu’un prévenu mineur a été condamné à 3 ans de prison et deux autres poursuivis en état de liberté ont écopé de deux ans fermes et un an avec sursis.
Pour rappel, les faits remontent à 2018 lorsque Khadija, mineure à l’époque, avait porté plainte pour séquestration et viol contre une dizaine d’agresseurs. La jeune fille déclarait en avoir été victime pendant deux mois à Oulad Ayad, dans la région de Béni Mellal.Suite à ces événements dramatiques, la jeune fille a été placée sous les feux des projecteurs, les images de son corps avec tatouages et traces de cigarettes causés, selon elle, par ses agresseurs avaient ému et indigné le monde entier. L’avocat de l’adolescente, Me Brahim Hachane, avait demandé « une expertise médicale pour définir ses séquelles psychiques et physiques » au juge d’instruction chargé de l’affaire au parquet de Beni Mellal.
À l’époque, une pétition pour lui venir en aide et obtenir « justice pour elle » a recueilli plus de 50.000 signatures en quelques jours. Des propositions d'interventions médicales gratuites ont afflué, selon la NSAT, une association d'aide aux femmes victimes de violences qui a décidé de la soutenir.