Le 28 septembre 2021, le gouvernement français avait annoncé des restrictions de visas aux ressortissants marocains, algériens et tunisiens. Cette mesure, qualifiée de rétorsion, a conduit à la réduction de moitié du nombre de visas accordés chaque année. Une mesure justifiée par une présumée non-coopération du Maroc, et des autres pays sanctionnés, sur le dossier du rapatriement des personnes en situation irrégulière.
Bien évidemment, cette décision a été et continue d’être mal vue du côté Sud de la Méditerranée, surtout au Royaume où l’opinion publique déplore, avec exaspération, ses conséquences sur les familles franco-marocaines, à cause d’une simple décision consulaire, qui obéit plus à une logique mathématique qu’à autre chose.
Sur Twitter, la polémique est tellement grande qu’elle fait réagir même des personnalités politiques françaises, des députés, des sénateurs et d’anciens ministres, dont Cécile Duflot qui joint sa voix à celles des personnes lésées qui réclament la fin des refus arbitraires.
De son côté, l’ambassade de France à Rabat, qui applique les instructions du Quai d’Orsay, n’en a jusqu’à présent reçu aucune l’invitant à revenir à la normale, chose que Hélène Le Gal a laissé entendre dans une précédente déclaration relayée sur ces mêmes colonnes.
Pour Paris, le retour à la normale est soi-disant conditionné par une meilleure coopération de Rabat sur le retour de ses « ressortissants indésirés » dans l’Hexagone. Pourtant, le Maroc n’a eu de cesse de démontrer sa bonne foi en coopérant volontiers dans le dossier sensible des migrants isolés, à quoi s’ajoute le volontarisme dont ont fait preuve les autorités marocaines, en acceptant immédiatement le rapatriement de l’imam Hassan Iquioussen sitôt que le ministre Gérald Darmanin s’est avisé de l’expulser. Alors, à quoi bon continuer de compliquer la vie des gens?
Bien évidemment, cette décision a été et continue d’être mal vue du côté Sud de la Méditerranée, surtout au Royaume où l’opinion publique déplore, avec exaspération, ses conséquences sur les familles franco-marocaines, à cause d’une simple décision consulaire, qui obéit plus à une logique mathématique qu’à autre chose.
Sur Twitter, la polémique est tellement grande qu’elle fait réagir même des personnalités politiques françaises, des députés, des sénateurs et d’anciens ministres, dont Cécile Duflot qui joint sa voix à celles des personnes lésées qui réclament la fin des refus arbitraires.
De son côté, l’ambassade de France à Rabat, qui applique les instructions du Quai d’Orsay, n’en a jusqu’à présent reçu aucune l’invitant à revenir à la normale, chose que Hélène Le Gal a laissé entendre dans une précédente déclaration relayée sur ces mêmes colonnes.
Pour Paris, le retour à la normale est soi-disant conditionné par une meilleure coopération de Rabat sur le retour de ses « ressortissants indésirés » dans l’Hexagone. Pourtant, le Maroc n’a eu de cesse de démontrer sa bonne foi en coopérant volontiers dans le dossier sensible des migrants isolés, à quoi s’ajoute le volontarisme dont ont fait preuve les autorités marocaines, en acceptant immédiatement le rapatriement de l’imam Hassan Iquioussen sitôt que le ministre Gérald Darmanin s’est avisé de l’expulser. Alors, à quoi bon continuer de compliquer la vie des gens?
Anass MACHLOUKH
