NamX, start-up innovante dirigée par Faouzi Annajah, a franchi une étape cruciale dans le secteur de l'automobile à hydrogène. La demande de brevet pour leur technologie de capsules d'hydrogène amovibles a été officiellement reconnue à l'international, portant le numéro WO 2023/203114 A1.
Cette innovation porte sur une « technologie à double réservoir » et un « processus de capsules échangeables dans un véhicule », ouvrant la voie à de nombreuses applications industrielles.
Dans une déclaration ses réseaux sociaux, Faouzi Annajah a exprimé son ambition de démocratiser le transport à hydrogène grâce à cette avancée technologique. « Grâce à l'innovation, nous allons y arriver », a-t-il affirmé, ajoutant que "la prochaine étape d'industrialisation de cette technologie est prévue pour 2025".
Le NamX HUV, conçu en partenariat avec le célèbre cabinet de design automobile italien Pininfarina, se distingue par ses capsules d'hydrogène interchangeables qui complètent un réservoir principal. Ce système permet d'atteindre une autonomie de 800 kilomètres et offre la possibilité d'échanger les capsules dans une station, sans nécessiter de remplir régulièrement le réservoir principal.
Faouzi Annajah a précédemment expliqué à maintes reprises que, contrairement aux véhicules électriques traditionnels équipés de batteries, le NamX HUV utilise une pile à combustible pour générer sa propre électricité. NamX affirme que ce modèle sera « la première voiture au monde à être équipée d'un système breveté de réservoir amovible à hydrogène », promettant ainsi de révolutionner l'expérience du véhicule à énergie propre.
Le NamX HUV représente bien plus qu'une innovation automobile ; il incarne un projet industriel et technologique ambitieux visant à assurer une mobilité durable tout en préservant l'environnement. Pour garantir le succès de ce projet, NamX s'appuie sur des partenariats avec des acteurs industriels et techniques de premier plan au niveau mondial.
Pour concrétiser leur vision, NamX prévoit d'implanter des usines de production entre l'Europe et l'Afrique, avec une attention particulière portée au Maroc. Cette stratégie permettra non seulement de répondre à la demande mondiale mais aussi de promouvoir le développement industriel sur le continent africain.
Cette innovation porte sur une « technologie à double réservoir » et un « processus de capsules échangeables dans un véhicule », ouvrant la voie à de nombreuses applications industrielles.
Dans une déclaration ses réseaux sociaux, Faouzi Annajah a exprimé son ambition de démocratiser le transport à hydrogène grâce à cette avancée technologique. « Grâce à l'innovation, nous allons y arriver », a-t-il affirmé, ajoutant que "la prochaine étape d'industrialisation de cette technologie est prévue pour 2025".
Le NamX HUV, conçu en partenariat avec le célèbre cabinet de design automobile italien Pininfarina, se distingue par ses capsules d'hydrogène interchangeables qui complètent un réservoir principal. Ce système permet d'atteindre une autonomie de 800 kilomètres et offre la possibilité d'échanger les capsules dans une station, sans nécessiter de remplir régulièrement le réservoir principal.
Faouzi Annajah a précédemment expliqué à maintes reprises que, contrairement aux véhicules électriques traditionnels équipés de batteries, le NamX HUV utilise une pile à combustible pour générer sa propre électricité. NamX affirme que ce modèle sera « la première voiture au monde à être équipée d'un système breveté de réservoir amovible à hydrogène », promettant ainsi de révolutionner l'expérience du véhicule à énergie propre.
Le NamX HUV représente bien plus qu'une innovation automobile ; il incarne un projet industriel et technologique ambitieux visant à assurer une mobilité durable tout en préservant l'environnement. Pour garantir le succès de ce projet, NamX s'appuie sur des partenariats avec des acteurs industriels et techniques de premier plan au niveau mondial.
Pour concrétiser leur vision, NamX prévoit d'implanter des usines de production entre l'Europe et l'Afrique, avec une attention particulière portée au Maroc. Cette stratégie permettra non seulement de répondre à la demande mondiale mais aussi de promouvoir le développement industriel sur le continent africain.
