Selon le journal « The Guardian », qui rapporte l’affaire, le requérant, qui avait initialement demandé 250.000 € au studio, a fait valoir que sa réputation morale et ses affaires avaient souffert du fait d'être associé à la mafia dans le film The Accountant, mettant en vedette l’acteur Ben Affleck.
Le businessman marocain, dont le nom est expurgé dans le jugement et qui vit à Valence, dans l'Est de l'Espagne, a affirmé avoir été alerté de son apparition par inadvertance dans le film par son fils.
Dans son jugement, le tribunal de Valence a noté que le visage du demandeur est visible pendant à peine une seconde dans le film qui dure 115 minutes. Il a également reconnu l’affirmation de Warner Bros selon laquelle la photo avait été tirée d’un véritable mandat d’arrêt du FBI émis contre le requérant en rapport avec une fraude informatique présumée en 2004.
Cependant, le tribunal a jugé que la photo en question avait été utilisée dans le film et qu’elle figurait sous une étiquette indiquant: « Associés présumés de la famille Gambino ».
Enfin de compte, le juge a accordé au requérant 25.000 € de dommages- intérêts, mais a rejeté sa demande de perte de revenus au motif qu'il n'était pas établi qu'il avait souffert financièrement du fait de l'utilisation de son image dans le film.
Le businessman marocain, dont le nom est expurgé dans le jugement et qui vit à Valence, dans l'Est de l'Espagne, a affirmé avoir été alerté de son apparition par inadvertance dans le film par son fils.
Dans son jugement, le tribunal de Valence a noté que le visage du demandeur est visible pendant à peine une seconde dans le film qui dure 115 minutes. Il a également reconnu l’affirmation de Warner Bros selon laquelle la photo avait été tirée d’un véritable mandat d’arrêt du FBI émis contre le requérant en rapport avec une fraude informatique présumée en 2004.
Cependant, le tribunal a jugé que la photo en question avait été utilisée dans le film et qu’elle figurait sous une étiquette indiquant: « Associés présumés de la famille Gambino ».
Enfin de compte, le juge a accordé au requérant 25.000 € de dommages- intérêts, mais a rejeté sa demande de perte de revenus au motif qu'il n'était pas établi qu'il avait souffert financièrement du fait de l'utilisation de son image dans le film.