Deux responsables des pays du Golfe ont déclaré que le Conseil de coopération du Golfe envisageait d'inviter les parties yéménites à des consultations à Riyad ce mois-ci.
Si le mouvement yéménite houthi s'est félicité des pourparlers avec la coalition dirigée par l'Arabie saoudite, il s'est toutefois opposé à ce qu'ils se déroulent à Riyad.
Mercredi, le mouvement a exigé, dans un communiqué publié mercredi par son agence de presse, que les négociations aient lieu dans un pays neutre, y compris les pays du Golfe, considérant que la levée des restrictions sur les ports yéménites et l'aéroport de Sanaa devrait être une priorité.
Certains optent pour le Sultanat d'Oman, où résident certains responsables houthis, ou le Koweït, qui a accueilli les précédents pourparlers de paix en 2015, pour accueillir de telles consultations.
En mars 2021, Riyad a présenté une initiative pour mettre fin à la guerre au Yémen, appelée "Initiative saoudienne", qui comprend un cessez-le-feu global supervisé par l'ONU pour parvenir à un accord politique.
Ryad a appelé les Houthis et le gouvernement yéménite légitime à accepter l'initiative et à s'appuyer sur elle pour mettre fin au conflit, affirmant son droit de défendre ses terres contre les attaques des milices houthies.
Si le mouvement yéménite houthi s'est félicité des pourparlers avec la coalition dirigée par l'Arabie saoudite, il s'est toutefois opposé à ce qu'ils se déroulent à Riyad.
Mercredi, le mouvement a exigé, dans un communiqué publié mercredi par son agence de presse, que les négociations aient lieu dans un pays neutre, y compris les pays du Golfe, considérant que la levée des restrictions sur les ports yéménites et l'aéroport de Sanaa devrait être une priorité.
Certains optent pour le Sultanat d'Oman, où résident certains responsables houthis, ou le Koweït, qui a accueilli les précédents pourparlers de paix en 2015, pour accueillir de telles consultations.
En mars 2021, Riyad a présenté une initiative pour mettre fin à la guerre au Yémen, appelée "Initiative saoudienne", qui comprend un cessez-le-feu global supervisé par l'ONU pour parvenir à un accord politique.
Ryad a appelé les Houthis et le gouvernement yéménite légitime à accepter l'initiative et à s'appuyer sur elle pour mettre fin au conflit, affirmant son droit de défendre ses terres contre les attaques des milices houthies.