«Cette année, notre intention est d’accélérer la mise en œuvre de la Zlecaf», a déclaré M. Mene lors d’une rencontre tenue récemment sous le thème «L'économie d'échelle africaine», notant que «les premiers échanges commerciaux entre les pays africains ont effectivement commencé avec des marchandises traversant les frontières, même si les volumes n'ont pas encore atteint les objectifs fixés».
Soulignant que les pays africains ont développé le cadre juridique qui a permis de mettre en place un marché unique efficace, il a évoqué le lancement en 2023 du Système panafricain de paiements et de règlements (PAPSS), qui vise à permettre aux entreprises de surmonter le problème de la convertibilité des devises qui freine la croissance en Afrique.
Il a relevé, dans ce sens, que les échanges commerciaux entre les pays africains portent désormais sur une vaste gamme de secteurs, allant des produits agricoles transformés aux produits manufacturés, en passant par les services.
«Les leçons que nous avons tirées sont qu’en réalité, le secteur privé à travers le continent est prêt à tirer profit de la Zlecaf et que les gouvernements doivent agir beaucoup plus rapidement pour répondre à leurs besoins», a-t-il ajouté.
De même, M. Mene a rappelé que le Secrétariat du groupement a sélectionné sept pays pour participer à l’essai pilote de l’Initiative sur le commerce guidé, qui leur a permis d’accéder à certains marchés à des tarifs préférentiels pour plusieurs produits.
«Cette année, les efforts déployés dans le cadre de cette initiative porteront sur le secteur des services, notamment le tourisme et les banques», a-t-il noté, signalant que les ministres du Commerce seront bientôt appelés à conclure le protocole sur le commerce numérique, qui renforcera davantage la compétitivité de l'économie africaine.
La Zlecaf est la plus grande zone de libre-échange au monde, réunissant les pays de l'Union africaine et huit communautés économiques régionales. Ce marché continental compte une population de 1,3 milliard d'habitants et un produit intérieur brut combiné de 3,4 billions de dollars.
Soulignant que les pays africains ont développé le cadre juridique qui a permis de mettre en place un marché unique efficace, il a évoqué le lancement en 2023 du Système panafricain de paiements et de règlements (PAPSS), qui vise à permettre aux entreprises de surmonter le problème de la convertibilité des devises qui freine la croissance en Afrique.
Il a relevé, dans ce sens, que les échanges commerciaux entre les pays africains portent désormais sur une vaste gamme de secteurs, allant des produits agricoles transformés aux produits manufacturés, en passant par les services.
«Les leçons que nous avons tirées sont qu’en réalité, le secteur privé à travers le continent est prêt à tirer profit de la Zlecaf et que les gouvernements doivent agir beaucoup plus rapidement pour répondre à leurs besoins», a-t-il ajouté.
De même, M. Mene a rappelé que le Secrétariat du groupement a sélectionné sept pays pour participer à l’essai pilote de l’Initiative sur le commerce guidé, qui leur a permis d’accéder à certains marchés à des tarifs préférentiels pour plusieurs produits.
«Cette année, les efforts déployés dans le cadre de cette initiative porteront sur le secteur des services, notamment le tourisme et les banques», a-t-il noté, signalant que les ministres du Commerce seront bientôt appelés à conclure le protocole sur le commerce numérique, qui renforcera davantage la compétitivité de l'économie africaine.
La Zlecaf est la plus grande zone de libre-échange au monde, réunissant les pays de l'Union africaine et huit communautés économiques régionales. Ce marché continental compte une population de 1,3 milliard d'habitants et un produit intérieur brut combiné de 3,4 billions de dollars.