Le directeur du bureau des médias du gouvernement palestinien à Gaza, Ismail Al-Thawabta, a déclaré, dimanche, que "l'occupation israélienne poursuit ses massacres dans les régions du nord", au cours desquels plus de 300 personnes ont été tuées en 9 jours dans une offensive terrestre et une extermination continue.
Al-Thawabta a déclaré lors d'une conférence de presse dans la bande de Gaza qu'Israël cherchait à mettre en œuvre un plan de déplacement dans le nord de la bande de Gaza, "qui est le plan américano-israélien le plus vaste et le plus dangereux du 21e siècle", selon un communiqué émis par le Bureau des médias sur la plateforme Telegram.
Il a ajouté que l'armée israélienne cherchait à saboter le système de santé et à transformer le nord de la bande de Gaza en une "zone de dévastation et de destruction complète".
Concernant le résultat de neuf jours de massacres, le directeur du bureau a déclaré que « l'occupation a jusqu'à présent tué plus de 300 martyrs au cours de 9 jours continus de massacres et d'extermination, dans un carnage prémédité et un siège appliqué contre les civils, les enfants et les femmes en particulier, et contre les quartiers résidentiels ».
Le directeur du bureau des médias du gouvernement à Gaza a condamné "les crimes de meurtre, de famine et les efforts de l'occupation israélienne visant à détruire le système de santé dans le nord de la bande de Gaza".
Al-Thawabta a déclaré lors d'une conférence de presse dans la bande de Gaza qu'Israël cherchait à mettre en œuvre un plan de déplacement dans le nord de la bande de Gaza, "qui est le plan américano-israélien le plus vaste et le plus dangereux du 21e siècle", selon un communiqué émis par le Bureau des médias sur la plateforme Telegram.
Il a ajouté que l'armée israélienne cherchait à saboter le système de santé et à transformer le nord de la bande de Gaza en une "zone de dévastation et de destruction complète".
Concernant le résultat de neuf jours de massacres, le directeur du bureau a déclaré que « l'occupation a jusqu'à présent tué plus de 300 martyrs au cours de 9 jours continus de massacres et d'extermination, dans un carnage prémédité et un siège appliqué contre les civils, les enfants et les femmes en particulier, et contre les quartiers résidentiels ».
Le directeur du bureau des médias du gouvernement à Gaza a condamné "les crimes de meurtre, de famine et les efforts de l'occupation israélienne visant à détruire le système de santé dans le nord de la bande de Gaza".
42.175 morts sans compter les dépouilles encore sous les décombres
Pour rappel, "le bilan de l’agression israélienne s’est élevé à 42.175 martyrs et 98.336 blessés depuis le 7 octobre 2023", selon le dernier bulletin du ministère de la Santé à Gaza, samedi.
Un bilan appelé à une révision à la hausse tant que "de nombreuses personnes sont toujours coincées sous les décombres et sur les routes, sans possibilité pour les secouristes de les atteindre", a ajouté le ministère de la Santé gazaoui.
Outre ce lourd bilan de tués et de blessés, le génocide israélien perpétré dans la bande de Gaza a fait des milliers de disparus, et a causé d’énormes destructions de bâtiments résidentiels et d'infrastructures, instaurant une famine meurtrière, notamment dans le nord de l’enclave, qui a coûté la vie à plusieurs enfants et personnes âgées.
Israël continue à mener sa guerre en ignorant la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU exigeant un cessez-le-feu immédiat, ainsi que les ordonnances de la Cour internationale de Justice sommant les Israéliens à prendre des mesures pour prévenir les actes génocidaires et améliorer la situation humanitaire catastrophique à Gaza.
