Dans un interview accordée à "El Pais", le Chef de la diplomatie espagnole est revenu sur la position de l'Espagne sur la question du Sahara qui continue de faire l'objet du débat au sein de la classe politique espagnole.
A cette occasion, il a réitéré le soutien exclusif de l'Espagne au plan d'autonomie, soulignant que la plupart des pays européens partagent cette position. « La position espagnole sur cette question est bien connue et a été reflétée dans la déclaration hispano-marocaine, qui est d’ailleurs partagée par la plupart des pays de l’Union européenne », a-t-il affirmé.
Albarez a saisi l’occasion pour appuyer les efforts du l’Envoyé du Secrétaire général de l’ONU Staffan de Mistura. « Après 50 ans, ce que nous voulons, c’est qu’il y ait une solution entre les parties […] Et nous soutenons les efforts de l’envoyé personnel du Secrétaire général des Nations Unies », a-t-il poursuivi.
Le ministre espagnol s'est félicité des bonnes relations entre Rabat et Madrid, qualifiant le Maroc de « pays ami" et de "partenaire stratégique de premier ordre pour l’Espagne et l’Union européenne.
Dans un autre registre, José Manuel Albares a réagi aux rumeurs qui circulent dans la presse ibérique sur le supposé effet de l'entre entre le Maroc et la nouvelle administration américaine sur le statut de Sebta et Melilia. Sur ce point, il a exclu que la reconnaissance de la marocanité du Sahara par Trump puisse impacter le statut des deux enclaves que l'Espagne appelle "villes autonomes".
« Le Maroc est un pays ami et un partenaire stratégique, et les États-Unis ont toujours été l'allié naturel de tous les Européens » a insisté Albares, rappelant que Sebta et Melilia "sont parfaitement intégrées à l'Espagne".
A cette occasion, il a réitéré le soutien exclusif de l'Espagne au plan d'autonomie, soulignant que la plupart des pays européens partagent cette position. « La position espagnole sur cette question est bien connue et a été reflétée dans la déclaration hispano-marocaine, qui est d’ailleurs partagée par la plupart des pays de l’Union européenne », a-t-il affirmé.
Albarez a saisi l’occasion pour appuyer les efforts du l’Envoyé du Secrétaire général de l’ONU Staffan de Mistura. « Après 50 ans, ce que nous voulons, c’est qu’il y ait une solution entre les parties […] Et nous soutenons les efforts de l’envoyé personnel du Secrétaire général des Nations Unies », a-t-il poursuivi.
Le ministre espagnol s'est félicité des bonnes relations entre Rabat et Madrid, qualifiant le Maroc de « pays ami" et de "partenaire stratégique de premier ordre pour l’Espagne et l’Union européenne.
Dans un autre registre, José Manuel Albares a réagi aux rumeurs qui circulent dans la presse ibérique sur le supposé effet de l'entre entre le Maroc et la nouvelle administration américaine sur le statut de Sebta et Melilia. Sur ce point, il a exclu que la reconnaissance de la marocanité du Sahara par Trump puisse impacter le statut des deux enclaves que l'Espagne appelle "villes autonomes".
« Le Maroc est un pays ami et un partenaire stratégique, et les États-Unis ont toujours été l'allié naturel de tous les Européens » a insisté Albares, rappelant que Sebta et Melilia "sont parfaitement intégrées à l'Espagne".