En effet, plusieurs mineurs de différentes nationalités ont été recensés et accueillis entre hier soir et ce matin dans différents centres de Cadix et d'Almería. Ces derniers sont arrivés sur les côtes de la ville occupée de Sebta à la nage ou à bord de bateaux pneumatiques, dans une opération d’immigration sans précédent, enregistrant plus de 6.000 migrants irréguliers, dont des familles entières et des mineurs.
La Junta de Andalucía a ainsi mis en place 250 centres d’accueillir en anticipation à un nombre significatif prévu de mineurs qui sont arrivés à Sebta en provenance du Maroc ou ceux qui pourraient arriver en Andalousie dans les prochains jours.
Rappelons en outre que des affrontements ont éclaté, ce matin même, lorsque les forces militaires espagnoles, la police nationale et locale et la garde civile, ont tenté de stopper le flux de migrants. Des jets de pierres d’un côté et l’utilisation du gaz lacrymogènes et des armes non-létales par les autorités pour disperser la foule réunie tentant de dépasser les barrières de Sebta…La situation est alarmante.
Notons également que face à une pression migratoire subite dans les deux villes occupées Sebta et Melilia, le gouvernement espagnol a proposé 30 millions d’euros au Maroc pour rétablir l'ordre dans la zone.
La Junta de Andalucía a ainsi mis en place 250 centres d’accueillir en anticipation à un nombre significatif prévu de mineurs qui sont arrivés à Sebta en provenance du Maroc ou ceux qui pourraient arriver en Andalousie dans les prochains jours.
Rappelons en outre que des affrontements ont éclaté, ce matin même, lorsque les forces militaires espagnoles, la police nationale et locale et la garde civile, ont tenté de stopper le flux de migrants. Des jets de pierres d’un côté et l’utilisation du gaz lacrymogènes et des armes non-létales par les autorités pour disperser la foule réunie tentant de dépasser les barrières de Sebta…La situation est alarmante.
Notons également que face à une pression migratoire subite dans les deux villes occupées Sebta et Melilia, le gouvernement espagnol a proposé 30 millions d’euros au Maroc pour rétablir l'ordre dans la zone.
