Kenza Bennani, jeune artiste fait pari de courage et de créativité en lançant un projet artistique portant sur la superposition d’images et photos en « collages » grâce à des applications mobiles, une idée qui a commencé sur les réseaux sociaux Instagram et Pinterest. Qui s’est puis concrétisé en une véritable exposition. « J’ai toujours été inspirée par la photographie et les films et l’idée c’était de transmettre des messages qu’on voit dans les films à travers des collages » nous confie Kenza.
L’art contemporain au Maroc a brulé énormément d’étapes. En quelque décennies nous sommes passés d’un art naïf à un art moderne jusqu’à un art contemporain cela peut être dû à des conjonctures économiques et mondialisatrices mais aussi les voyages et les études que les artistes marocains ont fait à l’étranger, c’est le cas de Kenza qui a fait ses études en France à l’âge de 18 ans. Inspirée par le photographe Elgort et le voyage, ses créations « sont un mix entre l’orient et l’occident ».
La féminité elle est très évidente sur les ouvres de Knizzart, interrogée à ce sujet elle nous déclare « La femme c’est elle qui construit, c’est elle qui bâtît et on doit lui rendre hommage », un message de d’espoir et de considération qu’elle cherche à véhiculer a toute les femmes, piliers de la société. Parmi les icones affichés sur ses collages il y’a Oum Kalthoum, « L’Astre de l’Orient » artiste pionnière de la musique arabe.
Le contexte de crise sanitaire COVID, n’as pas empêche la créativité des jeunes artistes comme Kenza puisqu’elle à lancé son projet via les plateformes Web chose qu’elle a fortement conseillé aux autres porteurs de projet artistiques « si vous avez un rêve, on a tous les moyens de le faire. Il suffit de saisir les opportunités ! ».
L’art contemporain au Maroc a brulé énormément d’étapes. En quelque décennies nous sommes passés d’un art naïf à un art moderne jusqu’à un art contemporain cela peut être dû à des conjonctures économiques et mondialisatrices mais aussi les voyages et les études que les artistes marocains ont fait à l’étranger, c’est le cas de Kenza qui a fait ses études en France à l’âge de 18 ans. Inspirée par le photographe Elgort et le voyage, ses créations « sont un mix entre l’orient et l’occident ».
La féminité elle est très évidente sur les ouvres de Knizzart, interrogée à ce sujet elle nous déclare « La femme c’est elle qui construit, c’est elle qui bâtît et on doit lui rendre hommage », un message de d’espoir et de considération qu’elle cherche à véhiculer a toute les femmes, piliers de la société. Parmi les icones affichés sur ses collages il y’a Oum Kalthoum, « L’Astre de l’Orient » artiste pionnière de la musique arabe.
Le contexte de crise sanitaire COVID, n’as pas empêche la créativité des jeunes artistes comme Kenza puisqu’elle à lancé son projet via les plateformes Web chose qu’elle a fortement conseillé aux autres porteurs de projet artistiques « si vous avez un rêve, on a tous les moyens de le faire. Il suffit de saisir les opportunités ! ».