Un communiqué du ministère de l'Energie, des mines et de l'environnement indique que cette annonce a été faite lors de la participation de Aziz Rabbah aux travaux de la Conférence Ministérielle Africaine sur l'Environnement (CMAE) qui s'est tenue virtuellement le 16 septembre sur le thème ''Assurer le bien-être et la durabilité des populations en Afrique''.
Dans son intervention, le ministre a souligné que la candidature du Maroc s'inscrit dans le cadre de l'engagement du Royaume et ses contributions multiples et effectives dans les efforts régionaux et internationaux en faveur de la préservation de l'environnement et du développement durable, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI.
Cet engagement s'est traduit durant les 20 dernières années par l'organisation et la présidence par le Maroc de nombreuses manifestations internationales de haut niveau, toutes couronnées de succès, ajoute le communiqué, qui cite à l'appui, l'organisation, entre autres, des 7ème et 22ème sessions de la COP ou encore de Forums africains sur le développement durable.
Il s'agit aussi du lancement d'ambitieuses initiatives sur le renforcement de l'adaptabilité face aux changements climatiques, dont la Commission du Bassin du Congo, la Commission du Sahel et la Commission des Etats Insulaires, l'Initiative pour l'Adaptation de l'Agriculture Africaine (AAA) et l'initiative 3S pour la soutenabilité, la stabilité et la sécurité en Afrique, selon la même source qui évoque aussi l'initiative de la jeunesse africaine pour l'environnement et la coalition pour l'accès à l'énergie durable.
Le communiqué note, par ailleurs, que la candidature marocaine se veut aussi une manière de renforcer la coopération régionale pour une action africaine collective et solidaire en faveur de l'environnement.
Lors de cette conférence organisée sous l'égide de Bureau Régional pour l'Afrique du Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), le ministre a affirmé que l'épidémie du Covid-19 représente, malgré ses effets néfastes, une opportunité pour les pays africains de promouvoir un développement durable à même de promouvoir les investissements et de créer des emplois.
Le ministre a, par ailleurs, souligné l'importance des prochaines conférences internationales pour la mise en oeuvre de l'agenda mondial inscrit dans les domaines de l'environnement et du développement durable, notant que l'Afrique se doit d'être au rendez-vous pour mieux défendre ses intérêts et réitérer ses engagements en faveur de la préservation de l'environnement.
À ce propos, le ministre a plaidé pour une matérialisation effective de l'accord de Paris et ce, en vue de relever le challenge de la réduction des émissions de gaz à effet de serre et apporter le soutien financier et technique nécessaire aux pays en développement, notamment en Afrique et ce, en vue de les aider dans leur lutte pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre et à s'approprier les nouvelles technologies.
Cette conférence africaine a été marquée par la participation de pas moins de 20 ministres africains de l'environnement, outre Mme Inger Andersen, Directrice exécutive du PNUE, et Mme Josefa Sacko, Commissaire en charge de l'Agriculture, du développement rural, de l'économie bleue et de l'environnement durable à l'Union Africaine ainsi que des représentants des organisations régionales et internationales.
En outre, elle a été aussi marquée par l'adoption d'une déclaration soulignant les efforts des pays africains face à la pandémie du Covid-19 et leur engagement à donner la priorité aux mesures de redressement vertes et durables qui favorisent à la fois la résilience sociale, économique et environnementale.
Dans son intervention, le ministre a souligné que la candidature du Maroc s'inscrit dans le cadre de l'engagement du Royaume et ses contributions multiples et effectives dans les efforts régionaux et internationaux en faveur de la préservation de l'environnement et du développement durable, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI.
Cet engagement s'est traduit durant les 20 dernières années par l'organisation et la présidence par le Maroc de nombreuses manifestations internationales de haut niveau, toutes couronnées de succès, ajoute le communiqué, qui cite à l'appui, l'organisation, entre autres, des 7ème et 22ème sessions de la COP ou encore de Forums africains sur le développement durable.
Il s'agit aussi du lancement d'ambitieuses initiatives sur le renforcement de l'adaptabilité face aux changements climatiques, dont la Commission du Bassin du Congo, la Commission du Sahel et la Commission des Etats Insulaires, l'Initiative pour l'Adaptation de l'Agriculture Africaine (AAA) et l'initiative 3S pour la soutenabilité, la stabilité et la sécurité en Afrique, selon la même source qui évoque aussi l'initiative de la jeunesse africaine pour l'environnement et la coalition pour l'accès à l'énergie durable.
Le communiqué note, par ailleurs, que la candidature marocaine se veut aussi une manière de renforcer la coopération régionale pour une action africaine collective et solidaire en faveur de l'environnement.
Lors de cette conférence organisée sous l'égide de Bureau Régional pour l'Afrique du Programme des Nations unies pour l'Environnement (PNUE), le ministre a affirmé que l'épidémie du Covid-19 représente, malgré ses effets néfastes, une opportunité pour les pays africains de promouvoir un développement durable à même de promouvoir les investissements et de créer des emplois.
Le ministre a, par ailleurs, souligné l'importance des prochaines conférences internationales pour la mise en oeuvre de l'agenda mondial inscrit dans les domaines de l'environnement et du développement durable, notant que l'Afrique se doit d'être au rendez-vous pour mieux défendre ses intérêts et réitérer ses engagements en faveur de la préservation de l'environnement.
À ce propos, le ministre a plaidé pour une matérialisation effective de l'accord de Paris et ce, en vue de relever le challenge de la réduction des émissions de gaz à effet de serre et apporter le soutien financier et technique nécessaire aux pays en développement, notamment en Afrique et ce, en vue de les aider dans leur lutte pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre et à s'approprier les nouvelles technologies.
Cette conférence africaine a été marquée par la participation de pas moins de 20 ministres africains de l'environnement, outre Mme Inger Andersen, Directrice exécutive du PNUE, et Mme Josefa Sacko, Commissaire en charge de l'Agriculture, du développement rural, de l'économie bleue et de l'environnement durable à l'Union Africaine ainsi que des représentants des organisations régionales et internationales.
En outre, elle a été aussi marquée par l'adoption d'une déclaration soulignant les efforts des pays africains face à la pandémie du Covid-19 et leur engagement à donner la priorité aux mesures de redressement vertes et durables qui favorisent à la fois la résilience sociale, économique et environnementale.