«Suite à la publication, par plusieurs supports de la presse internationale, d’allégations faisant état de supposées actions d’intrusion et d’atteinte à la vie privée sur des appareils téléphoniques, tout en portant des accusations directes visant des autorités publiques et des institutions nationales, la CNDP annonce qu’elle se saisit du sujet», a indiqué la CNDP dans un communiqué.
La Commission précise qu’elle procédera à l’examen des différents allégations avancés par lesdits supports de presse, évaluera la teneur et le caractère fondé des arguments qui les sous-tendent et mesurera leur impact sur la relation de confiance des citoyens et résidents au Maroc dans l’écosystème digital national et international.
La CNDP rappelle sa mission d’œuvrer au respect, selon les engagements internationaux du Royaume, les dispositions de la loi 09-08 relative à la protection des personnes physiques à l'égard des traitements des données à caractère personnel, son décret d’application et les usages y afférents, du droit à la protection de la vie privée garanti par l’article 24 de la Constitution.
Rappelons qu’en réaction à la persistante campagne médiatique évoquant une prétendue infiltration des téléphones de plusieurs personnalités publiques nationales et étrangères à travers le logiciel informatique dit Pegasus, le Maroc a choisi la voie de la justice.
Après avoir porté plainte contre «Le Monde», «Mediapart» et «Radio France», sans oublier les très polémiques Amnesty International et le consortium « Forbidden Stories », le Maroc, représenté par son ambassadeur à Berlin Zohour Alaoui, a déposé, lundi en Allemagne, une demande d’injonction à l’encontre de la société d’édition de journaux «Süddeutsche Zeitung GmbH», pour «allégations mensongères dans le cadre d’un reportage» incriminant les autorités marocaines. Déterminé à prouver l’illégalité des allégations formulées à son encontre, le Royaume a également fait recours à un collège d’experts, auprès de la Cour de Cassation en France, qui établira un rapport spécial sur cette affaire qui sème la zizanie.
La Commission précise qu’elle procédera à l’examen des différents allégations avancés par lesdits supports de presse, évaluera la teneur et le caractère fondé des arguments qui les sous-tendent et mesurera leur impact sur la relation de confiance des citoyens et résidents au Maroc dans l’écosystème digital national et international.
La CNDP rappelle sa mission d’œuvrer au respect, selon les engagements internationaux du Royaume, les dispositions de la loi 09-08 relative à la protection des personnes physiques à l'égard des traitements des données à caractère personnel, son décret d’application et les usages y afférents, du droit à la protection de la vie privée garanti par l’article 24 de la Constitution.
Rappelons qu’en réaction à la persistante campagne médiatique évoquant une prétendue infiltration des téléphones de plusieurs personnalités publiques nationales et étrangères à travers le logiciel informatique dit Pegasus, le Maroc a choisi la voie de la justice.
Après avoir porté plainte contre «Le Monde», «Mediapart» et «Radio France», sans oublier les très polémiques Amnesty International et le consortium « Forbidden Stories », le Maroc, représenté par son ambassadeur à Berlin Zohour Alaoui, a déposé, lundi en Allemagne, une demande d’injonction à l’encontre de la société d’édition de journaux «Süddeutsche Zeitung GmbH», pour «allégations mensongères dans le cadre d’un reportage» incriminant les autorités marocaines. Déterminé à prouver l’illégalité des allégations formulées à son encontre, le Royaume a également fait recours à un collège d’experts, auprès de la Cour de Cassation en France, qui établira un rapport spécial sur cette affaire qui sème la zizanie.