Cette Université des jeunes, organisée sous le signe «Jeunes et initiatives de participation citoyenne», vise à renforcer les capacités des jeunes à s’intégrer dans la vie publique et à participer à la gestion de la chose publique, a indiqué le président du réseau Al Amal pour le secours et le développement durable à Al Hoceima, Mohamed Al Moutawakil, notant que l’Université des jeunes s’est déroulée dans le strict respect des mesures préventives contre la propagation du nouveau coronavirus.
L’Université s’inscrit dans le cadre du projet «Jeunes et responsabilité sociale, une entrée pour la promotion de la démocratie et la participation citoyenne», mis en œuvre dans le cadre du programme «Moucharaka Mouwatina» (Participation citoyenne) financé par l’Union Européenne, sous la supervision du Bureau des Nations Unies pour les services d’appui aux projets, en partenariat avec le Ministère d’État chargé des droits de l’Homme et des relations avec le Parlement, et le Conseil national des droits de l’Homme, a-t-il précisé.
L’ouverture de l’Université des jeunes a été marquée par une intervention de Hassan Amhamdi, professeur universitaire à la faculté des sciences et techniques d’Al Hoceima, sur le thème «L’Université et la qualification des jeunes pour s’engager dans le développement et la chose publique: développement des compétences/modèle des Soft skills», dans laquelle il s’est penché sur un ensemble de compétences non professionnelles qui améliorent la capacité des jeunes à accéder au marché du travail.
La plupart des experts et responsables dans le domaine de l’emploi sont de plus en plus convaincus que le diplôme à lui seul ne suffit plus pour intégrer les nouveaux diplômés dans la vie professionnelle, surtout si le diplômé ne dispose pas de certaines capacités personnelles et comportementales, a-t-il expliqué, estimant que le diplômé doit avoir des compétences cognitives et personnelles afin d’améliorer son employabilité et son intégration dans le marché du travail.
Par ailleurs, M. Amhamdi a mis l’accent sur la nécessité d’apporter des changements cruciaux aux programmes d’enseignement universitaire, d’intégrer les programmes théoriques dans les universités avec des applications sur le terrain et de soutenir la formation continue, mettant en avant également l’importance de former les étudiants à des compétences techniques, artistiques et professionnelles en parallèle avec les cours scientifiques universitaires.
Il a, en outre, souligné l’importance de mener une étude et une enquête sur le marché du travail dans tous les secteurs et spécialités, de développer l’infrastructure des instituts, de revoir les programmes d’enseignement et d’y inclure les compétences demandées sur le marché du travail, tout en organisant des sessions de formation pour tous ceux qui souhaitent obtenir un certificat professionnel indépendamment de leur formation scientifique ou académique.
L’Université s’inscrit dans le cadre du projet «Jeunes et responsabilité sociale, une entrée pour la promotion de la démocratie et la participation citoyenne», mis en œuvre dans le cadre du programme «Moucharaka Mouwatina» (Participation citoyenne) financé par l’Union Européenne, sous la supervision du Bureau des Nations Unies pour les services d’appui aux projets, en partenariat avec le Ministère d’État chargé des droits de l’Homme et des relations avec le Parlement, et le Conseil national des droits de l’Homme, a-t-il précisé.
L’ouverture de l’Université des jeunes a été marquée par une intervention de Hassan Amhamdi, professeur universitaire à la faculté des sciences et techniques d’Al Hoceima, sur le thème «L’Université et la qualification des jeunes pour s’engager dans le développement et la chose publique: développement des compétences/modèle des Soft skills», dans laquelle il s’est penché sur un ensemble de compétences non professionnelles qui améliorent la capacité des jeunes à accéder au marché du travail.
La plupart des experts et responsables dans le domaine de l’emploi sont de plus en plus convaincus que le diplôme à lui seul ne suffit plus pour intégrer les nouveaux diplômés dans la vie professionnelle, surtout si le diplômé ne dispose pas de certaines capacités personnelles et comportementales, a-t-il expliqué, estimant que le diplômé doit avoir des compétences cognitives et personnelles afin d’améliorer son employabilité et son intégration dans le marché du travail.
Par ailleurs, M. Amhamdi a mis l’accent sur la nécessité d’apporter des changements cruciaux aux programmes d’enseignement universitaire, d’intégrer les programmes théoriques dans les universités avec des applications sur le terrain et de soutenir la formation continue, mettant en avant également l’importance de former les étudiants à des compétences techniques, artistiques et professionnelles en parallèle avec les cours scientifiques universitaires.
Il a, en outre, souligné l’importance de mener une étude et une enquête sur le marché du travail dans tous les secteurs et spécialités, de développer l’infrastructure des instituts, de revoir les programmes d’enseignement et d’y inclure les compétences demandées sur le marché du travail, tout en organisant des sessions de formation pour tous ceux qui souhaitent obtenir un certificat professionnel indépendamment de leur formation scientifique ou académique.