Ce dimanche 15 octobre, se sont clôturées les Assemblées annuelles de la Banque Mondiale (BM) et du Fonds Monétaire International (FMI) à Marrakech. Durant une semaine, le complexe de Bab Ighli a accueilli plus de 14.000 participants de 190 pays, 1.500 journalistes et plusieurs représentants de la société civile, pour débattre des défis économiques, financiers et environnementaux internationaux. La qualité de l’organisation n’a laissé personne indifférent. Que ce soit dans ou autour du campus, incluant le dispositif sécuritaire ou les divers services, tout a été géré de manière rigoureuse et impeccable. Pour un pays qui sort d’un terrible tremblement de terre, la réussite de l’événement est un signe que le Maroc est suffisamment résilient pour surmonter toutes les difficultés et aller de l’avant.
Comme l’a très bien résumé la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, “le séisme ne nous a pas arrêtés dans notre marche. Nos objectifs sont tellement grands que nous ne pouvons pas nous permettre de faire une pause”. Une catastrophe naturelle n’a pas empêché le Maroc d’accueillir l’événement économique de l’année, et rien ne lui interdira d’organiser la Coupe du Monde 2030.
Ces Assemblées sont également une preuve que le Royaume est passé maître dans l’art du soft power. Édifié par l’ONMT, le pavillon marocain est une exceptionnelle vitrine de la richesse historique, culturelle et de l’art de vivre marocains, et une invitation à venir le découvrir. Ce soft power ne se limite pas au patrimoine et au tourisme, mais s’étend au niveau politique. C’est ainsi que le Maroc s’est placé en tête des pays demandant un plus grand soutien financier au continent africain. Avec les ministres des Finances du continent, le Royaume fait partie des signataires de la “Déclaration de Marrakech”, qui appelle à une “architecture financière mondiale plus équitable et plus propice au développement de l’Afrique”.
Comme l’a très bien résumé la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, “le séisme ne nous a pas arrêtés dans notre marche. Nos objectifs sont tellement grands que nous ne pouvons pas nous permettre de faire une pause”. Une catastrophe naturelle n’a pas empêché le Maroc d’accueillir l’événement économique de l’année, et rien ne lui interdira d’organiser la Coupe du Monde 2030.
Ces Assemblées sont également une preuve que le Royaume est passé maître dans l’art du soft power. Édifié par l’ONMT, le pavillon marocain est une exceptionnelle vitrine de la richesse historique, culturelle et de l’art de vivre marocains, et une invitation à venir le découvrir. Ce soft power ne se limite pas au patrimoine et au tourisme, mais s’étend au niveau politique. C’est ainsi que le Maroc s’est placé en tête des pays demandant un plus grand soutien financier au continent africain. Avec les ministres des Finances du continent, le Royaume fait partie des signataires de la “Déclaration de Marrakech”, qui appelle à une “architecture financière mondiale plus équitable et plus propice au développement de l’Afrique”.