Alors que nos regards et ceux de l’ensemble de la planète étaient tournés depuis trois semaines vers la Palestine et l’enfer de la guerre qui s’y déroule, nous nous sommes réveillés dimanche matin sur l’information d’une supposée attaque du Polisario sur la ville de Smara dans le Sahara marocain. Relayée en avant-première sur les réseaux sociaux, puis reprise sans l’ombre d’une vérification ou recoupage par plusieurs médias électroniques qui se sont empressés de la publier, ladite information fait état d’une attaque de roquettes tirées par les milices du Polisario et qui auraient atteint quatre quartiers de la ville de Smara.
Une dépêche de la MAP viendra ensuite officialiser l’information d’explosions survenues dans plusieurs quartiers qui ont causé un mort, deux blessés graves et un blessé léger. Tout en ne faisant état que de déflagrations, l’agence de presse officielle du Royaume n’en précisera ni les causes, ni les éventuels auteurs et motivations. Il n’en fallait pas plus pour donner davantage de crédit à la thèse d’attaques du Polisario qui semblait plus logique que celle de simples explosions de bonbonnes de gaz également relayée par la rumeur publique et qui ne tient pas du tout la route, compte tenu du fait que les explosions signalées ont été enregistrées dans des lieux différents relativement espacés les uns des autres.
Et comme pour ajouter à la confusion de la situation, jusqu’à la fin de la matinée du dimanche 29 octobre, aucun communiqué officiel de revendication n’avait été publié par le Polisario sur le site de son agence de presse officielle. Celle-là même qui publie sans relâche depuis trois ans des communiqués de guerre faisant état d’attaques imaginaires quasi-quotidiennes contre les Forces Armées Royales (FAR). Les sbires du Polisario seraient-ils en train de jauger et d’évaluer avec leurs sponsors algériens les répercussions militaires et diplomatiques de cette attaque contre des cibles et des populations civiles, avant d’oser la revendiquer ?
La question mérite d’être posée, d’autant plus qu’à la veille de l’adoption de la nouvelle résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU pour la reconduction du mandat de la Minurso en ce lundi 30 octobre, une telle attaque pourrait avoir l’effet contraire de celui escompté par les séparatistes et précipiter l’introduction officielle de leur milice parmi la liste noire internationale des organisations terroristes.
En attendant et en début d’après-midi, un communiqué du procureur général du Roi près la cour d’appel de Lâayoune, annonçait l’ouverture d’une enquête pour définir les responsabilités des explosions et la nature des projectiles utilisés. Ce qui confirme officiellement la thèse d’une attaque avec des roquettes.
Une dépêche de la MAP viendra ensuite officialiser l’information d’explosions survenues dans plusieurs quartiers qui ont causé un mort, deux blessés graves et un blessé léger. Tout en ne faisant état que de déflagrations, l’agence de presse officielle du Royaume n’en précisera ni les causes, ni les éventuels auteurs et motivations. Il n’en fallait pas plus pour donner davantage de crédit à la thèse d’attaques du Polisario qui semblait plus logique que celle de simples explosions de bonbonnes de gaz également relayée par la rumeur publique et qui ne tient pas du tout la route, compte tenu du fait que les explosions signalées ont été enregistrées dans des lieux différents relativement espacés les uns des autres.
Et comme pour ajouter à la confusion de la situation, jusqu’à la fin de la matinée du dimanche 29 octobre, aucun communiqué officiel de revendication n’avait été publié par le Polisario sur le site de son agence de presse officielle. Celle-là même qui publie sans relâche depuis trois ans des communiqués de guerre faisant état d’attaques imaginaires quasi-quotidiennes contre les Forces Armées Royales (FAR). Les sbires du Polisario seraient-ils en train de jauger et d’évaluer avec leurs sponsors algériens les répercussions militaires et diplomatiques de cette attaque contre des cibles et des populations civiles, avant d’oser la revendiquer ?
La question mérite d’être posée, d’autant plus qu’à la veille de l’adoption de la nouvelle résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU pour la reconduction du mandat de la Minurso en ce lundi 30 octobre, une telle attaque pourrait avoir l’effet contraire de celui escompté par les séparatistes et précipiter l’introduction officielle de leur milice parmi la liste noire internationale des organisations terroristes.
En attendant et en début d’après-midi, un communiqué du procureur général du Roi près la cour d’appel de Lâayoune, annonçait l’ouverture d’une enquête pour définir les responsabilités des explosions et la nature des projectiles utilisés. Ce qui confirme officiellement la thèse d’une attaque avec des roquettes.