Le choc, l’indignation puis l’appel à la vengeance. Ce sont les réactions des Marocains suite à l’attaque contre la ville de Smara, ayant entraîné la mort d’une personne et la blessure de trois autres, dont deux dans un état grave. Le Procureur Général du Roi près la Cour d’Appel de Laâyoune a annoncé l’ouverture d’une enquête pour déterminer l’origine des projectiles.
Tous les faisceaux de preuves pointent vers le même coupable : le Polisario. D’ailleurs, la milice séparatiste a avoué à demi-mot son crime en publiant un communiqué dans lequel elle affirme avoir mené des attaques contre les «retranchements» des Forces Armées Royales (FAR) dans les régions de Mahbès, Smara et Farsia, «provoquant d’importantes pertes» humaines et matérielles.
D’autant que chaque année, à la veille du vote de la Résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU sur le Sahara, le Polisario multiplie les attaques à l’encontre du Royaume, dans l’espoir d’influer sur la décision de la communauté internationale. Son moyen privilégié était de bloquer le passage frontalier d’El Guerguerat, et ce, jusqu’au vendredi 13 novembre 2020, date à laquelle cette carte leur a été définitivement retirée par une intervention décisive des FAR.
Depuis, les séparatistes et leurs soutiens algériens gesticulent et provoquent, répétant ad nauseam leurs menaces de guerre. Cette hystérie ne fait que s’aggraver devant le flegme et la sagesse dont fait preuve le Maroc. S’il ne tolère aucune atteinte à ses lignes rouges, notamment l’approche du mur de sécurité au Sahara marocain, notre pays garde le même cap, accumulant des victoires diplomatiques à l’extérieur, et se développant à l’intérieur.
Si le Polisario et l’Algérie cherchent à entraîner le Royaume dans une guerre, c’est parce qu’ils savent que la paix et la stabilité sont ses atouts majeurs. Le Maroc a besoin de paix pour continuer à attirer tourisme et investissements, tout comme il en a besoin pour accomplir son objectif d’organiser la Coupe du Monde 2030.
Le temps est de notre côté, et les autorités marocaines sauront réagir en temps opportun avec le discernement nécessaire.
Tous les faisceaux de preuves pointent vers le même coupable : le Polisario. D’ailleurs, la milice séparatiste a avoué à demi-mot son crime en publiant un communiqué dans lequel elle affirme avoir mené des attaques contre les «retranchements» des Forces Armées Royales (FAR) dans les régions de Mahbès, Smara et Farsia, «provoquant d’importantes pertes» humaines et matérielles.
D’autant que chaque année, à la veille du vote de la Résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU sur le Sahara, le Polisario multiplie les attaques à l’encontre du Royaume, dans l’espoir d’influer sur la décision de la communauté internationale. Son moyen privilégié était de bloquer le passage frontalier d’El Guerguerat, et ce, jusqu’au vendredi 13 novembre 2020, date à laquelle cette carte leur a été définitivement retirée par une intervention décisive des FAR.
Depuis, les séparatistes et leurs soutiens algériens gesticulent et provoquent, répétant ad nauseam leurs menaces de guerre. Cette hystérie ne fait que s’aggraver devant le flegme et la sagesse dont fait preuve le Maroc. S’il ne tolère aucune atteinte à ses lignes rouges, notamment l’approche du mur de sécurité au Sahara marocain, notre pays garde le même cap, accumulant des victoires diplomatiques à l’extérieur, et se développant à l’intérieur.
Si le Polisario et l’Algérie cherchent à entraîner le Royaume dans une guerre, c’est parce qu’ils savent que la paix et la stabilité sont ses atouts majeurs. Le Maroc a besoin de paix pour continuer à attirer tourisme et investissements, tout comme il en a besoin pour accomplir son objectif d’organiser la Coupe du Monde 2030.
Le temps est de notre côté, et les autorités marocaines sauront réagir en temps opportun avec le discernement nécessaire.