Le groupe Renault a rebondi avec un bénéfice net de 368 millions d'euros, et a annoncé une marge opérationnelle de 654 millions d'euros sur les six premiers mois de l'année, soit 2,8% du chiffre d'affaires, qui s'établit à 23,4 milliards d'euros, en hausse de 26,8% en glissement annuel, contre 28 milliards avant la crise, en 2019.
Le constructeur automobile a fait également état de ventes mondiales en hausse de 18,7 % au premier semestre 2021 par rapport au premier semestre 2020 mais qui restent en repli de -24,2 % par rapport au premier semestre 2019.
Le groupe au Losange qui avait accusé des pertes de l’ordre de 7,39 milliards d'euros au premier semestre 2020, a indiqué viser un taux de marge opérationnelle pour l'année du même ordre qu'au premier semestre, «en dépit des incertitudes qui pèsent sur la demande, de la poursuite des effets négatifs de la crise des composants (...) et de la montée du prix des matières premières».
Renault a souligné qu'il devrait atteindre les objectifs de son plan d'économies de 2 milliards d'euros «avec un an d'avance» : 1,8 milliard d'euros a déjà été réalisé, dont plus de 600 millions d'euros sur ce premier semestre, par rapport à 2019.
Toutefois, le groupe prévient que la crise des semi-conducteurs continue de freiner l'assemblage et pourrait conduire à une perte de production de l'ordre de 200.000 véhicules sur l'année.
«Nous avons franchi une étape importante dans la restauration de nos équilibres financiers, notamment avec le retour proche de l'équilibre de notre free cash-flow sur ce semestre. Notre solide position de liquidité nous permet de poursuivre notre redressement en toute sérénité», a déclaré Clotilde Delbos, directrice financière de Renault Group, citée par les médias de l’hexagone.
Le constructeur automobile a fait également état de ventes mondiales en hausse de 18,7 % au premier semestre 2021 par rapport au premier semestre 2020 mais qui restent en repli de -24,2 % par rapport au premier semestre 2019.
Le groupe au Losange qui avait accusé des pertes de l’ordre de 7,39 milliards d'euros au premier semestre 2020, a indiqué viser un taux de marge opérationnelle pour l'année du même ordre qu'au premier semestre, «en dépit des incertitudes qui pèsent sur la demande, de la poursuite des effets négatifs de la crise des composants (...) et de la montée du prix des matières premières».
Renault a souligné qu'il devrait atteindre les objectifs de son plan d'économies de 2 milliards d'euros «avec un an d'avance» : 1,8 milliard d'euros a déjà été réalisé, dont plus de 600 millions d'euros sur ce premier semestre, par rapport à 2019.
Toutefois, le groupe prévient que la crise des semi-conducteurs continue de freiner l'assemblage et pourrait conduire à une perte de production de l'ordre de 200.000 véhicules sur l'année.
«Nous avons franchi une étape importante dans la restauration de nos équilibres financiers, notamment avec le retour proche de l'équilibre de notre free cash-flow sur ce semestre. Notre solide position de liquidité nous permet de poursuivre notre redressement en toute sérénité», a déclaré Clotilde Delbos, directrice financière de Renault Group, citée par les médias de l’hexagone.