Le ministre a affirmé qu’il est prématuré de considérer que le Maroc est sorti indemne de la crise de sécheresse structurelle, notant que le pays se trouve toujours en situation de sécheresse « modérée ». Il a par ailleurs souligné les effets très positifs de ces précipitations sur le niveau des barrages, l’agriculture, l’eau potable ainsi que les nappes phréatiques. Il a révélé qu’au cours des dix derniers jours, des précipitations importantes ont touché la quasi-totalité du territoire, en particulier les régions qui souffraient d’une sécheresse sévère. À titre d’exemple, les cumuls enregistrés ont dépassé 300 mm à Chefchaouen et Taza, 284 mm à Taounate, 170 mm à Rabat et 174 mm à Béni Mellal.
Par ailleurs, le ministre a indiqué que d’importantes chutes de neige ont recouvert une superficie estimée à 11 000 km², portant l’accumulation totale de neige à plus de 30 000 km², contre seulement 9 500 km² l’année précédente. Cette amélioration a eu un impact significatif sur les barrages, dont le taux de remplissage a atteint 6 milliards de mètres cubes, soit plus de 35 % de leur capacité totale.
Grâce aux précipitations des dix derniers jours, les barrages ont bénéficié d’un apport de 1,4 milliard de mètres cubes d’eau. Cette évolution a permis à quatre bassins hydrauliques d’afficher un taux de remplissage supérieur à 50 %, notamment ceux du Loukkos, du Tensift, du Bouregreg et de la Moulouya, ce dernier se rapprochant même d’un niveau de remplissage élevé.
Malgré cette amélioration des réserves hydriques, le déficit pluviométrique par rapport à la moyenne annuelle habituelle demeure de 18 %. Certaines régions continuent d’être touchées par la sécheresse, notamment le Tensift, le Souss et les provinces du sud, à l’exception des zones de Oued Noun, Ziz et Ghris, qui sont sorties de la phase de sécheresse extrême, a précisé Baraka. Grâce à cette récente amélioration des ressources hydriques, le ministre a assuré que l’approvisionnement en eau potable sera garanti pour les trois prochaines années à Errachidia et pour deux ans à Zagora. La même prévision s’applique aux villes de Taza et Al Hoceima.
Par ailleurs, le ministre a indiqué que d’importantes chutes de neige ont recouvert une superficie estimée à 11 000 km², portant l’accumulation totale de neige à plus de 30 000 km², contre seulement 9 500 km² l’année précédente. Cette amélioration a eu un impact significatif sur les barrages, dont le taux de remplissage a atteint 6 milliards de mètres cubes, soit plus de 35 % de leur capacité totale.
Grâce aux précipitations des dix derniers jours, les barrages ont bénéficié d’un apport de 1,4 milliard de mètres cubes d’eau. Cette évolution a permis à quatre bassins hydrauliques d’afficher un taux de remplissage supérieur à 50 %, notamment ceux du Loukkos, du Tensift, du Bouregreg et de la Moulouya, ce dernier se rapprochant même d’un niveau de remplissage élevé.
Malgré cette amélioration des réserves hydriques, le déficit pluviométrique par rapport à la moyenne annuelle habituelle demeure de 18 %. Certaines régions continuent d’être touchées par la sécheresse, notamment le Tensift, le Souss et les provinces du sud, à l’exception des zones de Oued Noun, Ziz et Ghris, qui sont sorties de la phase de sécheresse extrême, a précisé Baraka. Grâce à cette récente amélioration des ressources hydriques, le ministre a assuré que l’approvisionnement en eau potable sera garanti pour les trois prochaines années à Errachidia et pour deux ans à Zagora. La même prévision s’applique aux villes de Taza et Al Hoceima.