Les travailleurs sans-papiers en Belgique demandent aux autorités locales de légaliser enfin leur séjour dans le pays. La couverture médiatique internationale a montré les manifestants émaciés par une grève de la faim d'un mois, certains s'étant même cousu les lèvres.
Deux universités belges et une église locale figuraient parmi les lieux de manifestation. La majorité des 400 migrants sont venus d'Asie du Sud ou d'Afrique du Nord ont vécu en Belgique pendant des années voire des décennies, rapportent des médias internationaux.
Les responsables des six plus grandes universités francophones de Belgique se sont impliqués dans l'affaire. En effet, les universitaires des différentes institutions appellent à une solution urgente au sort des sans-papiers.
Apparemment, le gouvernement belge n'est pas encore prêt à négocier une résidence officielle avec les grévistes ; cependant, il pourrait tenir des pourparlers afin de discuter certains aspects de la situation difficile des travailleurs.
Deux universités belges et une église locale figuraient parmi les lieux de manifestation. La majorité des 400 migrants sont venus d'Asie du Sud ou d'Afrique du Nord ont vécu en Belgique pendant des années voire des décennies, rapportent des médias internationaux.
Les responsables des six plus grandes universités francophones de Belgique se sont impliqués dans l'affaire. En effet, les universitaires des différentes institutions appellent à une solution urgente au sort des sans-papiers.
Apparemment, le gouvernement belge n'est pas encore prêt à négocier une résidence officielle avec les grévistes ; cependant, il pourrait tenir des pourparlers afin de discuter certains aspects de la situation difficile des travailleurs.