En validant son billet pour une cinquième finale continentale, la Renaissance Sportive de Berkane (RSB) a incontestablement ajouté une ligne prestigieuse à son Histoire sportive. Dimanche soir, à Constantine, malgré une défaite (1-0) contre un Club Sportif de Constantine accrocheur, la RSB a cru réaliser l’essentiel : la qualification. Mais au-delà du résultat brut, un regret subsiste : celui que le club marocain aurait pu et aurait dû se qualifier en gagnant ce match retour.
En continuité de l’affaire de la carte intégrale du Maroc portée fièrement sur les maillots de la RSB et qui avait suscité une véritable levée de boucliers chez nos voisins de l’Est et néanmoins ennemis de notre intégrité territoriale, cette double confrontation avec le Club Sportif de Constantine (CSC) ne pouvait être résumée à sa seule dimension sportive. À Constantine, l’équipe de Berkane devait incarner bien plus que ses propres ambitions : elle portait la voix de tout un peuple, l’image d’un Maroc uni, fier, indivisible et surtout invincible.
Or, si le cœur était au rendez-vous, certaines attitudes, certaines hésitations, certains replis timorés donnaient parfois l’impression que l’équipe oubliait qu’elle ne défendait pas seulement un blason local, mais tout une Nation. L’intensité émotionnelle, la pression sportive et l’aura foncièrement politique de ce match que les dirigeants d’Alger présentaient comme celui de la revanche, auraient dû transcender l’équipe marocaine, au lieu de l’emprisonner dans une prudente et parcimonieuse gestion du score. D’autant plus que les joueurs de Berkane disposent du talent et de la compétence nécessaires, doublés da la confortable marge de manœuvre que procurait le score de 4 à 0 à l’aller.
Qu’à cela ne tienne, félicitons-nous de la qualification des Oranges et laissons nos amis algériens savourer leur petite et courte revanche au score. Dès à présent, les esprits sont tournés vers la finale contre Simba SC qui sera l’occasion ultime de prouver la domination du football national au firmament de la scène continentale. Cette fois, la Renaissance Sportive de Berkane devra se souvenir que chaque passe, chaque geste, chaque souffle sur le terrain sera scruté comme l’expression d’une cause collective. Plus qu’un club en quête de trophée, la RSB doit être l’étendard flamboyant du Maroc, prêt à faire vibrer un peuple tout entier, au-delà des lignes de touche.
Le trophée ne sera alors pas seulement un titre de plus : il sera l’écho d’un Maroc uni, porté haut par ses fils sur tous les terrains d’Afrique.
En continuité de l’affaire de la carte intégrale du Maroc portée fièrement sur les maillots de la RSB et qui avait suscité une véritable levée de boucliers chez nos voisins de l’Est et néanmoins ennemis de notre intégrité territoriale, cette double confrontation avec le Club Sportif de Constantine (CSC) ne pouvait être résumée à sa seule dimension sportive. À Constantine, l’équipe de Berkane devait incarner bien plus que ses propres ambitions : elle portait la voix de tout un peuple, l’image d’un Maroc uni, fier, indivisible et surtout invincible.
Or, si le cœur était au rendez-vous, certaines attitudes, certaines hésitations, certains replis timorés donnaient parfois l’impression que l’équipe oubliait qu’elle ne défendait pas seulement un blason local, mais tout une Nation. L’intensité émotionnelle, la pression sportive et l’aura foncièrement politique de ce match que les dirigeants d’Alger présentaient comme celui de la revanche, auraient dû transcender l’équipe marocaine, au lieu de l’emprisonner dans une prudente et parcimonieuse gestion du score. D’autant plus que les joueurs de Berkane disposent du talent et de la compétence nécessaires, doublés da la confortable marge de manœuvre que procurait le score de 4 à 0 à l’aller.
Qu’à cela ne tienne, félicitons-nous de la qualification des Oranges et laissons nos amis algériens savourer leur petite et courte revanche au score. Dès à présent, les esprits sont tournés vers la finale contre Simba SC qui sera l’occasion ultime de prouver la domination du football national au firmament de la scène continentale. Cette fois, la Renaissance Sportive de Berkane devra se souvenir que chaque passe, chaque geste, chaque souffle sur le terrain sera scruté comme l’expression d’une cause collective. Plus qu’un club en quête de trophée, la RSB doit être l’étendard flamboyant du Maroc, prêt à faire vibrer un peuple tout entier, au-delà des lignes de touche.
Le trophée ne sera alors pas seulement un titre de plus : il sera l’écho d’un Maroc uni, porté haut par ses fils sur tous les terrains d’Afrique.
