L'équipe des réseaux sociaux en charge du compte Twitter du président américain Joe Biden a supprimé la publication controversée qui montrait la carte du Maroc séparé de ses provinces du Sud et du Sahara.
Ce tweet a, tout naturellement, attisé la fureur sur internet au cours des dernières 24 heures, suscitant l'indignation des marocains et des partisans de l'intégrité territoriale du Maroc.
Plusieurs partisans du régime algérien et de ses milices du Polisario avaient proclamé que le tweet était une déclaration tacite selon laquelle les États-Unis révoqueraient leur reconnaissance de la souveraineté marocaine sur la région du Sahara marocain.
« Biden choque le gouvernement marocain et se range du côté de l'Algérie », a écrit le média algérien Shihab Presse, soulignant ainsi à quel point le Sahara marocain est un problème bilatéral entre l'Algérie et le Maroc.
Quelques heures avant que l'équipe des réseaux sociaux de Biden ne supprime le message, l'agence de presse d'État algérienne (APS), un agitateur clé en ce qui concerne la rupture des liens entre l'Algérie et le Maroc, a consacré un article entier sur sa page d'accueil au tweet de Biden : « Biden tweete une carte qui sépare le Sahara occidental du Maroc » a titré fièrement l’Aps, ajoutant dans son article que le tweet en question n'était certainement pas un accident. Jusque-là rien de vraiment intéressant : que des présomptions creuses !
La décision de suppression du tweet de Biden, qui a fini par s'imposer calmement et en toute logique, s'ajoute à la montagne sans cesse croissante des preuves qui réaffirment que l'administration de Biden n'a pas l'intention d'annuler la reconnaissance par les États-Unis de l'intégrité territoriale et de la souveraineté du Maroc sur son Sahara.
La présidence de Joe Biden a déjà clairement indiqué qu'il n'y avait pas de changement dans la position américaine à plusieurs reprises. Et la dernière confirmation est venue de Joey Hood, secrétaire d'État adjoint par intérim la semaine dernière à Rabat.
Ce tweet a, tout naturellement, attisé la fureur sur internet au cours des dernières 24 heures, suscitant l'indignation des marocains et des partisans de l'intégrité territoriale du Maroc.
Plusieurs partisans du régime algérien et de ses milices du Polisario avaient proclamé que le tweet était une déclaration tacite selon laquelle les États-Unis révoqueraient leur reconnaissance de la souveraineté marocaine sur la région du Sahara marocain.
« Biden choque le gouvernement marocain et se range du côté de l'Algérie », a écrit le média algérien Shihab Presse, soulignant ainsi à quel point le Sahara marocain est un problème bilatéral entre l'Algérie et le Maroc.
Quelques heures avant que l'équipe des réseaux sociaux de Biden ne supprime le message, l'agence de presse d'État algérienne (APS), un agitateur clé en ce qui concerne la rupture des liens entre l'Algérie et le Maroc, a consacré un article entier sur sa page d'accueil au tweet de Biden : « Biden tweete une carte qui sépare le Sahara occidental du Maroc » a titré fièrement l’Aps, ajoutant dans son article que le tweet en question n'était certainement pas un accident. Jusque-là rien de vraiment intéressant : que des présomptions creuses !
La décision de suppression du tweet de Biden, qui a fini par s'imposer calmement et en toute logique, s'ajoute à la montagne sans cesse croissante des preuves qui réaffirment que l'administration de Biden n'a pas l'intention d'annuler la reconnaissance par les États-Unis de l'intégrité territoriale et de la souveraineté du Maroc sur son Sahara.
La présidence de Joe Biden a déjà clairement indiqué qu'il n'y avait pas de changement dans la position américaine à plusieurs reprises. Et la dernière confirmation est venue de Joey Hood, secrétaire d'État adjoint par intérim la semaine dernière à Rabat.