En dépit de quelques regrets sur le fond, la cérémonie de remise des trophées de la Confédération Africaine de Football (CAF), qui s’est déroulée le lundi 11 décembre à Marrakech, a été un franc succès organisationnel. De l’accueil des participants, en passant par la scénarisation des diverses étapes de la cérémonie, jusqu’à la clôture en apothéose de cette soirée mémorable marquée par la présence de la crème nationale et internationale du football continental, notre pays a démontré ses formidables capacités organisationnelles devenues un sérieux atout de soft-power et de marketing d’image de marque.
Maintenant et pour revenir au fond, le Maroc est certes sorti auréolé de cinq trophées dont le plus important est incontestablement celui de la meilleure équipe nationale africaine de l’année attribué sans contestation aucune aux Lions de l’Atlas, en raison principalement de leur parcours historique en Coupe du Monde, mais le tableau aurait pu être plus consistant si Bounou, au même titre que Mahrez d’ailleurs, n’avait pas été injustement exclu de la shortlist du meilleur joueur de l’année. Fairplay oblige, on se consolera donc avec la victoire amplement logique et méritée de Walid Regragui en tant que meilleur entraîneur africain de l’année et celle tout aussi significative de la talentueuse Fatima Tagnaout (AS FAR) en tant que meilleure joueuse africaine locale de l’année.
Ce qui n’est pas le cas de l’Algérie qui, faute d’exploits footballistiques significatifs, a essayé de se distinguer par son absence de l’événement en le boycottant après avoir tenté de le discréditer par une véritable campagne anti-marocaine de dénigrement orchestrée par les médias et les responsables sportifs algériens qui ont multiplié les pleurnicheries et les jérémiades, criant comme à leur habitude au complot imaginaire. Or, non seulement l’absence de l’Algérie est passée totalement inaperçue, mais, en plus, les prévisions de nos voisins concernant une razzia marocaine de tous les trophées de la CAF, grâce à “l’entrisme et aux manigances” d’un certain «LekDjaa», se sont avérées totalement infondées et fantaisistes. N’est pas fairplay qui veut !
Maintenant et pour revenir au fond, le Maroc est certes sorti auréolé de cinq trophées dont le plus important est incontestablement celui de la meilleure équipe nationale africaine de l’année attribué sans contestation aucune aux Lions de l’Atlas, en raison principalement de leur parcours historique en Coupe du Monde, mais le tableau aurait pu être plus consistant si Bounou, au même titre que Mahrez d’ailleurs, n’avait pas été injustement exclu de la shortlist du meilleur joueur de l’année. Fairplay oblige, on se consolera donc avec la victoire amplement logique et méritée de Walid Regragui en tant que meilleur entraîneur africain de l’année et celle tout aussi significative de la talentueuse Fatima Tagnaout (AS FAR) en tant que meilleure joueuse africaine locale de l’année.
Ce qui n’est pas le cas de l’Algérie qui, faute d’exploits footballistiques significatifs, a essayé de se distinguer par son absence de l’événement en le boycottant après avoir tenté de le discréditer par une véritable campagne anti-marocaine de dénigrement orchestrée par les médias et les responsables sportifs algériens qui ont multiplié les pleurnicheries et les jérémiades, criant comme à leur habitude au complot imaginaire. Or, non seulement l’absence de l’Algérie est passée totalement inaperçue, mais, en plus, les prévisions de nos voisins concernant une razzia marocaine de tous les trophées de la CAF, grâce à “l’entrisme et aux manigances” d’un certain «LekDjaa», se sont avérées totalement infondées et fantaisistes. N’est pas fairplay qui veut !
