Comme à l’accoutumée, le 30 avril de chaque année permet de rappeler les droits des personnes à mobilité réduite, de dresser un bilan des avancées et des bémols de l’armada de dispositifs qui leur sont destinés, mais surtout de faire le point sur les mesures que doit prendre la tutelle afin de leur assurer la vie décente qu’elles méritent amplement.
A bien des égards, la prévention au profit de cette frange vulnérable de la société ne pourra que briguer les enjeux sanitaires et économiques de notre pays en développement. C’est d’ailleurs pourquoi des campagnes de vaccination et de dépistage précoce sont menées à tour de bras auprès des enfants représentant des signes avant-coureurs de maladies neurodégénératives invalidantes, mais aussi auprès des séniors invalides.
Pareillement, tel une planche de salut, un programme gouvernemental numérique a permis, faut-il le reconnaître, la prise en charge de près de 2000 enfants en difficulté dans le cadre d’un programme de scolarisation, ainsi que la mise en place d’espaces multifonctionnels dédiés à la formation au numérique au profit des cadres et des associations locales œuvrant dans la protection de cette catégorie.
Mais là où le bât blesse, c’est que la prise en charge de cette partie de la population n’est pas à la portée de tout le monde, et la «carte d’invalidité », qui se veut une couveuse sociale permettant d’inclure les personnes invalides dans bien des activités génératrices de revenus, a connu des années de retard. Mais pas pour longtemps… aujourd’hui, le nouveau système d’évaluation du handicap est fixé, tandis que le process d’octroi est dans le pipe. Vivement…
A bien des égards, la prévention au profit de cette frange vulnérable de la société ne pourra que briguer les enjeux sanitaires et économiques de notre pays en développement. C’est d’ailleurs pourquoi des campagnes de vaccination et de dépistage précoce sont menées à tour de bras auprès des enfants représentant des signes avant-coureurs de maladies neurodégénératives invalidantes, mais aussi auprès des séniors invalides.
Pareillement, tel une planche de salut, un programme gouvernemental numérique a permis, faut-il le reconnaître, la prise en charge de près de 2000 enfants en difficulté dans le cadre d’un programme de scolarisation, ainsi que la mise en place d’espaces multifonctionnels dédiés à la formation au numérique au profit des cadres et des associations locales œuvrant dans la protection de cette catégorie.
Mais là où le bât blesse, c’est que la prise en charge de cette partie de la population n’est pas à la portée de tout le monde, et la «carte d’invalidité », qui se veut une couveuse sociale permettant d’inclure les personnes invalides dans bien des activités génératrices de revenus, a connu des années de retard. Mais pas pour longtemps… aujourd’hui, le nouveau système d’évaluation du handicap est fixé, tandis que le process d’octroi est dans le pipe. Vivement…