Après la fermeture de l’ancienne décharge de Médiouna, le Conseil de la ville a accéléré le dossier de la gestion des déchets de la métropole. A cet effet, deux usines sont en perspective pour la gestion des déchets ménagers, et une autre dédiée à leur tri et traitement.
L’ancienne décharge de Médiouna « représentait un point noir pour l’environnement, et tous les riverains et Casablancais se plaignaient de cette décharge, ouverte en 1986, et qui est devenue une montagne », souligne Moulay Ahmed Afilal, vice-président du Conseil communal de Casablanca, chargé du nettoiement.
Considéré comme point noir pour la ville, le Conseil a décidé de fermer la décharge. Par ailleurs, afin de gérer les ordures ménagères de la ville, il a été décidé d’ouvrir une décharge de 35 hectares pour traiter les 4.000 tonnes d'ordures ménagères générées chaque jour par les habitants de Casablanca. "La nouvelle décharge sera ouverte pour une durée de trois ans et demi", a indiqué Afilal.
Parallèlement, la ville sera dotée d’une nouvelle usine pour valoriser, trier les ordures ménagères et assurer leur traitement à l’aide d’un liquide résiduel produit sous l’action conjuguée de l’eau et de la fermentation des déchets, apprend-on du vice-président du Conseil de la ville.
« C'est incroyable qu'une grande ville comme Casablanca, une smart city, n'ait pas d'usine de recyclage », s'exclame l'élu local.
Pour la mise en oeuvre de cette usine, une enveloppe de 3,5 milliards dirhams sera mobilisée par la Commune de Casablanca, le Ministère de l'Intérieur, représenté par la Direction Générale des Collectivités Territoriales (DGCT), le Ministère de la Transition Énergétique et du Développement Durable, et la wilaya de Casablanca. « Après sa mise en service, cette usine servira Casablanca pendant une durée de 30 ans », précise Afilal.
Ainsi, cette enveloppe budgétaire servira également à la réhabilitation des décharges actuelles en espace vert, ainsi qu'à la production d'énergie et au compostage.
Pour ce faire, « La DGCT a conclu un accord avec les cimentiers afin de chauffer leurs fours par le combustible issu de l’ancienne décharge », conclut Afilal.
L’ancienne décharge de Médiouna « représentait un point noir pour l’environnement, et tous les riverains et Casablancais se plaignaient de cette décharge, ouverte en 1986, et qui est devenue une montagne », souligne Moulay Ahmed Afilal, vice-président du Conseil communal de Casablanca, chargé du nettoiement.
Considéré comme point noir pour la ville, le Conseil a décidé de fermer la décharge. Par ailleurs, afin de gérer les ordures ménagères de la ville, il a été décidé d’ouvrir une décharge de 35 hectares pour traiter les 4.000 tonnes d'ordures ménagères générées chaque jour par les habitants de Casablanca. "La nouvelle décharge sera ouverte pour une durée de trois ans et demi", a indiqué Afilal.
Parallèlement, la ville sera dotée d’une nouvelle usine pour valoriser, trier les ordures ménagères et assurer leur traitement à l’aide d’un liquide résiduel produit sous l’action conjuguée de l’eau et de la fermentation des déchets, apprend-on du vice-président du Conseil de la ville.
« C'est incroyable qu'une grande ville comme Casablanca, une smart city, n'ait pas d'usine de recyclage », s'exclame l'élu local.
Pour la mise en oeuvre de cette usine, une enveloppe de 3,5 milliards dirhams sera mobilisée par la Commune de Casablanca, le Ministère de l'Intérieur, représenté par la Direction Générale des Collectivités Territoriales (DGCT), le Ministère de la Transition Énergétique et du Développement Durable, et la wilaya de Casablanca. « Après sa mise en service, cette usine servira Casablanca pendant une durée de 30 ans », précise Afilal.
Ainsi, cette enveloppe budgétaire servira également à la réhabilitation des décharges actuelles en espace vert, ainsi qu'à la production d'énergie et au compostage.
Pour ce faire, « La DGCT a conclu un accord avec les cimentiers afin de chauffer leurs fours par le combustible issu de l’ancienne décharge », conclut Afilal.