Depuis plusieurs jours, les habitants de plusieurs quartiers de la métropole économique se plaignent de mauvaises odeurs qui envahissent la ville, du crépuscule jusqu’à l’aube.
Les odeurs putrides et d’origine indéterminée, ont interpellé les responsables du conseil de la ville. Une commission dirigée par Moulay Ahmed Afilal, vice-président du Conseil de la ville en charge du nettoiement et les équipes de la décharge et de Casa Baia ont effectué, dans la soirée du lundi 31 octobre, une visite d’inspection pour en savoir plus sur les causes de cette nuisance qui trouble les Casablancais.
Joint par « L’Opinion », Ahmed Afilal a fait savoir que «la sortie d’inspection menée avec les acteurs de la société civile, ce lundi, a révélé qu’il n’y a pas d’odeurs émanant de la décharge. Les gens disent que les ordures brûlées sont la source de cette nuisance, j’aimerais rassurer les habitants concernant la méthode adoptée pour traiter les ordures ménagères à Casablanca: on procède à l’enfouissement des déchets».
« Suivant une réglementation stricte, l’enfouissement consiste à stocker les déchets dans des conditions très contrôlées afin de maîtriser leur impact sur l’environnement. Les déchets sont stockés dans des casiers étanches prévus à cet effet et ce, dans le respect des normes de sécurité et celles environnementales», a-t-il assuré.
Les habitants de la capitale économique se plaignent, depuis plusieurs jours, d’odeurs insupportables qui s’accentuent le soir dans plusieurs quartiers (Ain Borja, Belvédère, Sebata, Ain Chok, La Gironde, Californie etc…). Des témoignages ont enflammé la Toile sur les réseaux sociaux, des centaines de publications se perdent en conjectures sur l’origine de cette odeur et réclament l’ouverture d’une enquête.
«Les odeurs, selon nos investigations, émanent d’une usine clandestine, installée à Médiouna, qui brûlent des batteries. Ce territoire et en dehors de notre juridiction, de ce fait, on ne peut pas procéder à des mesures pour mettre fin à cette nuisance, mais étant donné que l’impact de ces odeurs ne se limite pas à Médiouna, on compte contacter le wali de la région pour trouver une solution définitive », a expliqué cependant Moulay Ahmed Afilal.
« Nous allons organiser une autre sortie en présence de la presse, dans l’objectif d’assurer l’opinion publique qu’aucune odeur n’émane, ni de la décharge actuelle, ni l’ancienne», a-t-il conclu.
Les odeurs putrides et d’origine indéterminée, ont interpellé les responsables du conseil de la ville. Une commission dirigée par Moulay Ahmed Afilal, vice-président du Conseil de la ville en charge du nettoiement et les équipes de la décharge et de Casa Baia ont effectué, dans la soirée du lundi 31 octobre, une visite d’inspection pour en savoir plus sur les causes de cette nuisance qui trouble les Casablancais.
Joint par « L’Opinion », Ahmed Afilal a fait savoir que «la sortie d’inspection menée avec les acteurs de la société civile, ce lundi, a révélé qu’il n’y a pas d’odeurs émanant de la décharge. Les gens disent que les ordures brûlées sont la source de cette nuisance, j’aimerais rassurer les habitants concernant la méthode adoptée pour traiter les ordures ménagères à Casablanca: on procède à l’enfouissement des déchets».
« Suivant une réglementation stricte, l’enfouissement consiste à stocker les déchets dans des conditions très contrôlées afin de maîtriser leur impact sur l’environnement. Les déchets sont stockés dans des casiers étanches prévus à cet effet et ce, dans le respect des normes de sécurité et celles environnementales», a-t-il assuré.
Les habitants de la capitale économique se plaignent, depuis plusieurs jours, d’odeurs insupportables qui s’accentuent le soir dans plusieurs quartiers (Ain Borja, Belvédère, Sebata, Ain Chok, La Gironde, Californie etc…). Des témoignages ont enflammé la Toile sur les réseaux sociaux, des centaines de publications se perdent en conjectures sur l’origine de cette odeur et réclament l’ouverture d’une enquête.
«Les odeurs, selon nos investigations, émanent d’une usine clandestine, installée à Médiouna, qui brûlent des batteries. Ce territoire et en dehors de notre juridiction, de ce fait, on ne peut pas procéder à des mesures pour mettre fin à cette nuisance, mais étant donné que l’impact de ces odeurs ne se limite pas à Médiouna, on compte contacter le wali de la région pour trouver une solution définitive », a expliqué cependant Moulay Ahmed Afilal.
« Nous allons organiser une autre sortie en présence de la presse, dans l’objectif d’assurer l’opinion publique qu’aucune odeur n’émane, ni de la décharge actuelle, ni l’ancienne», a-t-il conclu.
Deux usines en perspective pour la gestion des déchets ménagers
Après la fermeture de l’ancienne décharge de Médiouna, le Conseil de la ville a accéléré le traitement du dossier de gestion des déchets de la métropole. A cet effet, deux usines sont en perspective pour la gestion des déchets ménagers, et une autre dédiée à leur tri et traitement. Considéré comme point noir pour la ville, le Conseil a décidé de fermer la décharge.
Par ailleurs, afin de gérer les ordures ménagères de la ville, il a été décidé d’ouvrir une décharge sur 35 hectares pour traiter les 4.000 tonnes d’ordures ménagères générées chaque jour par les habitants de Casablanca. Parallèlement, la ville sera dotée d’une nouvelle usine pour valoriser, trier les ordures ménagères et assurer leur traitement à l’aide d’un composant liquide résiduel, produit sous l’action conjuguée de l’eau et de la fermentation des déchets, apprend-on du vice-président du Conseil de la ville.
Par ailleurs, afin de gérer les ordures ménagères de la ville, il a été décidé d’ouvrir une décharge sur 35 hectares pour traiter les 4.000 tonnes d’ordures ménagères générées chaque jour par les habitants de Casablanca. Parallèlement, la ville sera dotée d’une nouvelle usine pour valoriser, trier les ordures ménagères et assurer leur traitement à l’aide d’un composant liquide résiduel, produit sous l’action conjuguée de l’eau et de la fermentation des déchets, apprend-on du vice-président du Conseil de la ville.