Les habitants de la ville ont expliqué que toutes les rues sont devenues bondées et étroites, en raison du grand nombre de travaux menés un peu partout (voiries, ouvrages d’art, futurs lignes du tram, le BHNS.. ) parallèlement à d’autres réparations effectuées par les autorités responsables. La circulation s’étouffe, de nombreux travailleurs arrivent en retard à leur lieu de travail, « j’ai mis une heure et demie pour arriver à mon lieu de travail », précise une Casablancaise dans un groupe Facebook.
« Certes, chaque année, la rentrée est marquée par une circulation infernale, mais cette année est bien particulière », a-t-elle ajouté. « Chassez le naturel, il revient au galop », disent certains. Bien que les Casablancais ont failli oublier ce problème lors du confinement, le retour à la normale leur a rappelé le rythme infernal que connaît la capitale économique du Royaume lors des longues heures de pointe.
« Certes, chaque année, la rentrée est marquée par une circulation infernale, mais cette année est bien particulière », a-t-elle ajouté. « Chassez le naturel, il revient au galop », disent certains. Bien que les Casablancais ont failli oublier ce problème lors du confinement, le retour à la normale leur a rappelé le rythme infernal que connaît la capitale économique du Royaume lors des longues heures de pointe.
Chaimae BARKI