Si la plupart des restrictions liées à l’épidémie de coronavirus ont disparu à travers le monde, la Chine fait encore figure d’exception avec une politique "zéro Covid" extrêmement stricte. Elle engendre des situations incongrues dénoncées en images par les Chinois.
C’est une image d’une pratique devenue un spectacle courant: des agents vêtus de combinaisons intégrales pulvérisant du désinfectant sur des citoyens, comme montré dans une vidéo circulant en ligne depuis le 21 novembre, où des personnes sortant d’un camp de quarantaine sont intégralement aspergées.
Ceux qui ne portent pas de masque en public s'exposent à de graves conséquences. À Hong Kong, des images diffusées le 20 novembre 2022 montrent des policiers utilisant du gaz poivré sur des étrangers au motif qu’ils ne portaient pas de masque dans le métro.
Pour d’autres, la sanction peut virer à l’humiliation : à Guangzhou, dans le sud du pays, le 17 novembre 2022, deux femmes ont été attachées dans la rue après avoir été accusées d’avoir pris un repas à emporter sans porter de masque. Une vidéo montre les deux femmes, visiblement en détresse, les mains attachées à un poste de contrôle situé près de l'entrée d'un complexe résidentiel.
Les vidéos et les images liées à l'incident ont depuis été retirées de Weibo. La police a déclaré aux médias chinois qu'elle enquêtait sur le cas des deux femmes.
C’est une image d’une pratique devenue un spectacle courant: des agents vêtus de combinaisons intégrales pulvérisant du désinfectant sur des citoyens, comme montré dans une vidéo circulant en ligne depuis le 21 novembre, où des personnes sortant d’un camp de quarantaine sont intégralement aspergées.
Ceux qui ne portent pas de masque en public s'exposent à de graves conséquences. À Hong Kong, des images diffusées le 20 novembre 2022 montrent des policiers utilisant du gaz poivré sur des étrangers au motif qu’ils ne portaient pas de masque dans le métro.
Pour d’autres, la sanction peut virer à l’humiliation : à Guangzhou, dans le sud du pays, le 17 novembre 2022, deux femmes ont été attachées dans la rue après avoir été accusées d’avoir pris un repas à emporter sans porter de masque. Une vidéo montre les deux femmes, visiblement en détresse, les mains attachées à un poste de contrôle situé près de l'entrée d'un complexe résidentiel.
Les vidéos et les images liées à l'incident ont depuis été retirées de Weibo. La police a déclaré aux médias chinois qu'elle enquêtait sur le cas des deux femmes.