65 % des Marocains pensent que le coronavirus aura un impact notable sur leur travail. 88% soutiennent par conséquent l’idée de l’auto-confinement, de quarantaine et de fermeture des frontières pour aider à stopper la propagation du virus. C’est ce qui ressort de la dernière enquête du cabinet Ipsos qui s’intéresse à l’opinion publique sur l’épidémie de coronavirus dans 6 pays de la région MENA (Moyen-Orient et Afrique du Nord) dont le Maroc, et 12 autres pays à travers le monde.
Interrogés sur le niveau de menace de coronavirus, 52% des marocains se sont montrés plus inquiets pour eux-mêmes. Parallèlement, 80% pensent que Covid-19 est une sérieuse menace pour le pays.
Toujours selon l’enquête, parvenue à L’Opinion, seulement 44% des Marocains pensent que les médias exagèrent l’ampleur de l’épidémie du coronavirus, et qu’une quantité importante des informations est fausse.
Interrogés sur le niveau de menace de coronavirus, 52% des marocains se sont montrés plus inquiets pour eux-mêmes. Parallèlement, 80% pensent que Covid-19 est une sérieuse menace pour le pays.
Toujours selon l’enquête, parvenue à L’Opinion, seulement 44% des Marocains pensent que les médias exagèrent l’ampleur de l’épidémie du coronavirus, et qu’une quantité importante des informations est fausse.
Les achats en ligne
Autre résultat de l’enquête IPSOS : 89% des Marocains se disent d’accord à se mettre en quarantaine pendant au moins 14 jours en cas d’infection. A ce titre, 36% des interrogés pensent qu’une personne de leur entourage sera infectée par le virus.
L’enquête montre également que, durant cette période de confinement, les achats de produits en ligne sont en hausse surtout en Asie. Pour le Maroc, ce n’est pas le cas. 35% seulement des interviewés avouent n’effectuer que rarement (voire jamais) leurs achats en ligne, alors que 23% l’ont fait plus souvent.
Porté sur un large échantillon de marocains âgés de plus de 15 ans, l’enquête démontre, en outre, que les pratiques de constituer des réserves sont plus fréquentes en Asie et dans les premiers pays mis en confinement. Elle montre aussi que « le stockage excessif de biens par certains inquiète la majorité qui croit que cela pourra causer des pénuries ».
Ainsi, pour le Maroc, 23% des répondants ont déclaré avoir constituer des réserves en nourriture pour se prémunir contre la crise du Coronavirus.
Sur le même sujet, 72% estiment que, s’il y a une pénurie d’aliments et d’approvisionnement dans les commerces près de chez eux, ce sera à cause du stockage des réserves d’aliments et d’autres produits. Alors que pour 28%, ce sera à cause de la « perturbation de la chaîne d’approvisionnement et de la distribution des produits alimentaires et d’autres produits ». D’après l’enquête aussi, 89% des Marocains pensent que l’épidémie du coronavirus va avoir un impact financier aussi bien sur leurs familles que sur eux-mêmes.
L’enquête montre également que, durant cette période de confinement, les achats de produits en ligne sont en hausse surtout en Asie. Pour le Maroc, ce n’est pas le cas. 35% seulement des interviewés avouent n’effectuer que rarement (voire jamais) leurs achats en ligne, alors que 23% l’ont fait plus souvent.
Porté sur un large échantillon de marocains âgés de plus de 15 ans, l’enquête démontre, en outre, que les pratiques de constituer des réserves sont plus fréquentes en Asie et dans les premiers pays mis en confinement. Elle montre aussi que « le stockage excessif de biens par certains inquiète la majorité qui croit que cela pourra causer des pénuries ».
Ainsi, pour le Maroc, 23% des répondants ont déclaré avoir constituer des réserves en nourriture pour se prémunir contre la crise du Coronavirus.
Sur le même sujet, 72% estiment que, s’il y a une pénurie d’aliments et d’approvisionnement dans les commerces près de chez eux, ce sera à cause du stockage des réserves d’aliments et d’autres produits. Alors que pour 28%, ce sera à cause de la « perturbation de la chaîne d’approvisionnement et de la distribution des produits alimentaires et d’autres produits ». D’après l’enquête aussi, 89% des Marocains pensent que l’épidémie du coronavirus va avoir un impact financier aussi bien sur leurs familles que sur eux-mêmes.
A. CHANNAJE