Depuis le début de la crise Covid en 2020, le secteur de la construction passe par une période sombre. Flambée inédite des coûts de production, augmentation des taux d’intérêts, dégringolade de la demande… le bâtiment, secteur pivot de la croissance, n’arrive pas à voir le bout du tunnel, comme en témoigne la stagnation de plusieurs marchés liés à la construction, qui accumulent les baisses, et particulièrement celui du ciment dont les livraisons en août n’ont pas dépassé les 8,14 millions de tonnes.
Ces chiffres peuvent également être corroborés par la situation de l’immobilier qui est en pleine récession avec une baisse estimée à 50% au niveau des nouveaux chantiers. Ceci dit, bien que le contexte international soit toujours perturbé et malgré la persistance des goulots d’étranglement dans les chaînes d’approvisionnement, sans oublier les pressions inflationnistes, les professionnels affichent timidement leur optimisme, annonçant une augmentation imminente de l’activité, principalement dans la filière « Génie civil ». La construction globale ainsi que le bâtiment resteraient néanmoins stables, ce qui permettra de maintenir les très précieux postes budgétaires des employeurs.
Si l’inflation a été l’élément déclencheur de la crise que vit actuellement le secteur, l’éradication de certaines lacunes pourrait amortir la chute de ses différentes activités de sorte à relancer la machine.
Outre l’assouplissement des démarches administratives, qui alourdissent les factures des constructeurs, il faut veiller au respect de la concurrence pure et parfaite, car la concurrence déloyale inquiète toujours les constructeurs. Alors que la version finale du PLF 2024 approche à pas de géant, un effort supplémentaire au niveau fiscal s’impose, notamment en termes de droits d’enregistrement, car, en n de compte, «quand le bâtiment va, tout va».
Ces chiffres peuvent également être corroborés par la situation de l’immobilier qui est en pleine récession avec une baisse estimée à 50% au niveau des nouveaux chantiers. Ceci dit, bien que le contexte international soit toujours perturbé et malgré la persistance des goulots d’étranglement dans les chaînes d’approvisionnement, sans oublier les pressions inflationnistes, les professionnels affichent timidement leur optimisme, annonçant une augmentation imminente de l’activité, principalement dans la filière « Génie civil ». La construction globale ainsi que le bâtiment resteraient néanmoins stables, ce qui permettra de maintenir les très précieux postes budgétaires des employeurs.
Si l’inflation a été l’élément déclencheur de la crise que vit actuellement le secteur, l’éradication de certaines lacunes pourrait amortir la chute de ses différentes activités de sorte à relancer la machine.
Outre l’assouplissement des démarches administratives, qui alourdissent les factures des constructeurs, il faut veiller au respect de la concurrence pure et parfaite, car la concurrence déloyale inquiète toujours les constructeurs. Alors que la version finale du PLF 2024 approche à pas de géant, un effort supplémentaire au niveau fiscal s’impose, notamment en termes de droits d’enregistrement, car, en n de compte, «quand le bâtiment va, tout va».