Acculé dans l’impasse, le Polisario a fini par sombrer dans la radicalisation après son désespoir d’obtenir gain de cause, notamment auprès du Conseil de Sécurité qui lui inflige de sévères revers, dont le dernier n’est autre que la Résolution 2703 et son ton foncièrement favorable au Maroc. Alors que la chimère du référendum s’est dissipée, le front se livre ostensiblement au terrorisme.
Une semaine après avoir attaqué des civils lors de son agression du 29 octobre, les séparatistes ont ciblé un site de la MINURSO, dévoilant ainsi leur vrai visage terroriste qui se cachait derrière les prétentions fallacieuses d’un “mouvement de libération”. Ses attentats répétitifs font du front, qui se targue de la violation du cessez-le-feu, un candidat idéal pour rejoindre la liste des organisations terroristes dont il présente désormais toutes les caractéristiques telles que définies par la Résolution 60.43 de l’Assemblée Générale de l’ONU qui dispose : « Est terroriste tout acte criminel conçu pour terroriser l’ensemble d’une population, un groupe de population ou certaines personnes à des fins politiques ». S’en prendre à des civils à Smara et à un site onusien afin de faire pression sur un Etat, en l’occurrence le Maroc, en est la parfaite illustration.
Par ailleurs, la séquestration de populations contre leur gré dans des camps fermés et le détournement de l’aide humanitaire qui leur est destinée relèvent bel et bien de la prise d’otages qui fait partie des actes caractéristiques du terrorisme, selon les normes de l’Union Européenne.
Certes, le Maroc peut souverainement inscrire le Polisario comme organisation terroriste, mais cela n’aurait pas l’effet escompté sans l’adhésion de la communauté internationale, notamment celle des Etats-Unis et de l’UE, qui pourtant, n’hésitent pas à classer des vrais mouvements de libération comme le Hamas parmi les organisations terroristes.
Une fois l’enquête du procureur général de Lâayoune bouclée, l’armada diplomatique marocaine engagera les démarches nécessaires en vue de révéler aux yeux du monde la vraie nature du Polisario, un mouvement mercenaire qui a fait du brigandage sa spécialité, avant de basculer dans le terrorisme le plus abject avec lequel il a longtemps fleurté.
Une semaine après avoir attaqué des civils lors de son agression du 29 octobre, les séparatistes ont ciblé un site de la MINURSO, dévoilant ainsi leur vrai visage terroriste qui se cachait derrière les prétentions fallacieuses d’un “mouvement de libération”. Ses attentats répétitifs font du front, qui se targue de la violation du cessez-le-feu, un candidat idéal pour rejoindre la liste des organisations terroristes dont il présente désormais toutes les caractéristiques telles que définies par la Résolution 60.43 de l’Assemblée Générale de l’ONU qui dispose : « Est terroriste tout acte criminel conçu pour terroriser l’ensemble d’une population, un groupe de population ou certaines personnes à des fins politiques ». S’en prendre à des civils à Smara et à un site onusien afin de faire pression sur un Etat, en l’occurrence le Maroc, en est la parfaite illustration.
Par ailleurs, la séquestration de populations contre leur gré dans des camps fermés et le détournement de l’aide humanitaire qui leur est destinée relèvent bel et bien de la prise d’otages qui fait partie des actes caractéristiques du terrorisme, selon les normes de l’Union Européenne.
Certes, le Maroc peut souverainement inscrire le Polisario comme organisation terroriste, mais cela n’aurait pas l’effet escompté sans l’adhésion de la communauté internationale, notamment celle des Etats-Unis et de l’UE, qui pourtant, n’hésitent pas à classer des vrais mouvements de libération comme le Hamas parmi les organisations terroristes.
Une fois l’enquête du procureur général de Lâayoune bouclée, l’armada diplomatique marocaine engagera les démarches nécessaires en vue de révéler aux yeux du monde la vraie nature du Polisario, un mouvement mercenaire qui a fait du brigandage sa spécialité, avant de basculer dans le terrorisme le plus abject avec lequel il a longtemps fleurté.
