Si les Tunisiens, avec leurs joueurs du terroir, ont réussi à poinçonner leur billet pour le Groupe l mondial, en battant, largement, les Zimbabwéens par 4/0, les nôtres ont, malheureusement, raté le coche en recevant, sur le Central «Younes El Aynaoui» du R.T.C.Marrakech, les Danois, pourtant moins classés que nos joueurs et qui se sont déplacés, en plus, sans leurs deux meilleurs joueurs. D’ailleurs lors de la conférence de presse de mercredi, le capitaine Danois a, même, félicité, d’avance les Marocains qui, pour lui, partaient largement favoris. Même dans le clan des nationaux, on était plus qu’optimistes quant un résultat positif pour l’équipe du capitaine Mehdi Tahiri. Seulement et malheureusement tous ces pronostics sont tombés à l’eau pour se retrouver, de nouveau, à la case de départ au sein du Groupe ll.
Une hécatombe générale
Ce fut, vraiment, une hécatombe générale et, heureusement, qu’il n’y avait pas de public sinon que le néo Franco-marocain, Elliot Benchetrit, aurait pris pour ses comptes. Lui qui était, vraiment, loin des aspirations de tout à chacun que ce soit pour sa mièvre prestation que pour son comportement sur le court qui n’avait rien de professionnel. Pour un premier coup d’essai, ce fut, tout simplement, un fiasco au sens propre et au sens figuré. D’ailleurs, c’est lui que le tirage a désigné pour ouvrir le bal de cette rencontre, pour le compte du premier simple, en jouant le n°2 Danois et 888 ATP, Christian Sigsgaard.
Une rencontre qui devrait être interdite aux cardiaques marocains car on est passé par toutes les émotions possibles pour voir, enfin, le premier point se dessiner pour le Maroc. Elliot n’avait besoin, en principe, que de deux sets pour plier le match si ce n’était ses excès de zèle et ses débordements gratuits qui lui ont, d’ailleurs, valu un point de pénalité. Ce fut le tournant du match pour s’acheminer vers la manche décisive. Donc, c’est au forceps que le néo n°1 national a pu conclure sur le score de 7/6[4], 4/6, 6/2.
Jeunesse et expérience
Dans l’euphorie on devait accueillir le n°2 national et vétéran de l’équipe, Lamine Ouahab 799e, en compagnie du n°1 Danois, August Holmgren 808e, pour les besoins du second simple. Tout a bien commencé pour Lamine qui s’adjugea, d’entrée, la première manche par 6/4 avant que le jeune Danois (23 ans) ne parvienne à remettre les pendules à l’heure sur le score de 6/2. Dans la manche décisive, c’est la jeunesse Danoise qui a prévalu sur l’expérience de notre valeureux combattant qui n’a cédé que sur la marque de 6/4.
À égalité d’une victoire partout, les deux équipes se sont retrouvées le lendemain dimanche pour les trois dernières rencontres. Pour le double, le capitaine Mehdi Tahiri n’avait pas le choix que d’aligner les mêmes joueurs de la veille face au capitaine d’équipe Danoise et grand spécialiste en la matière, Frederik Nielsen, et son compatriote Christian Sigsgaard. Ce double qui nous a, de toujours, tourné le dos. Et ce n’est pas cette année, non plus, que l’on a réussi à vaincre le signe indien. En deux fois 6/4, la cause était entendue pour notre duo et pour notre équipe qui se retrouvent, désormais, menés par 2/1.
Plus qu’une victoire pour nos adversaires, alors que nos «Lions de l’Atlas» devaient, impérativement, gagner les deux derniers simples s’ils veulent accompagner les «Aigles de Carthage» au Groupe l mondial.
En attendant Godot Peine perdue, malheureusement, puisque notre «héros» de cette rencontre, Elliot Benchetrit, va faire, encore, des siens en se lamentant, à chaque coup perdu, que ce soit à cause de la surface du court que pour n’importe quelle décision arbitrale. Bref, il n’était pas du tout dans le match facilitant ainsi la tâche à son futur bourreau, le n°1 Danois August Holmgren, qui ne s’est pas gêné pour lui coller un cuisant 6/0 après avoir gagné le premier set par 6/2.
3 à 1 en faveur du Danemark, qui rejoint, donc, le Groupe l mondial, alors que les nôtres vont retrouver leur ancienne classe en attendant des journées meilleures avec, surtout, des joueurs qui mouillent bien leur maillot pour l’amour de leur pays.
Une hécatombe générale
Ce fut, vraiment, une hécatombe générale et, heureusement, qu’il n’y avait pas de public sinon que le néo Franco-marocain, Elliot Benchetrit, aurait pris pour ses comptes. Lui qui était, vraiment, loin des aspirations de tout à chacun que ce soit pour sa mièvre prestation que pour son comportement sur le court qui n’avait rien de professionnel. Pour un premier coup d’essai, ce fut, tout simplement, un fiasco au sens propre et au sens figuré. D’ailleurs, c’est lui que le tirage a désigné pour ouvrir le bal de cette rencontre, pour le compte du premier simple, en jouant le n°2 Danois et 888 ATP, Christian Sigsgaard.
Une rencontre qui devrait être interdite aux cardiaques marocains car on est passé par toutes les émotions possibles pour voir, enfin, le premier point se dessiner pour le Maroc. Elliot n’avait besoin, en principe, que de deux sets pour plier le match si ce n’était ses excès de zèle et ses débordements gratuits qui lui ont, d’ailleurs, valu un point de pénalité. Ce fut le tournant du match pour s’acheminer vers la manche décisive. Donc, c’est au forceps que le néo n°1 national a pu conclure sur le score de 7/6[4], 4/6, 6/2.
Jeunesse et expérience
Dans l’euphorie on devait accueillir le n°2 national et vétéran de l’équipe, Lamine Ouahab 799e, en compagnie du n°1 Danois, August Holmgren 808e, pour les besoins du second simple. Tout a bien commencé pour Lamine qui s’adjugea, d’entrée, la première manche par 6/4 avant que le jeune Danois (23 ans) ne parvienne à remettre les pendules à l’heure sur le score de 6/2. Dans la manche décisive, c’est la jeunesse Danoise qui a prévalu sur l’expérience de notre valeureux combattant qui n’a cédé que sur la marque de 6/4.
À égalité d’une victoire partout, les deux équipes se sont retrouvées le lendemain dimanche pour les trois dernières rencontres. Pour le double, le capitaine Mehdi Tahiri n’avait pas le choix que d’aligner les mêmes joueurs de la veille face au capitaine d’équipe Danoise et grand spécialiste en la matière, Frederik Nielsen, et son compatriote Christian Sigsgaard. Ce double qui nous a, de toujours, tourné le dos. Et ce n’est pas cette année, non plus, que l’on a réussi à vaincre le signe indien. En deux fois 6/4, la cause était entendue pour notre duo et pour notre équipe qui se retrouvent, désormais, menés par 2/1.
Plus qu’une victoire pour nos adversaires, alors que nos «Lions de l’Atlas» devaient, impérativement, gagner les deux derniers simples s’ils veulent accompagner les «Aigles de Carthage» au Groupe l mondial.
En attendant Godot Peine perdue, malheureusement, puisque notre «héros» de cette rencontre, Elliot Benchetrit, va faire, encore, des siens en se lamentant, à chaque coup perdu, que ce soit à cause de la surface du court que pour n’importe quelle décision arbitrale. Bref, il n’était pas du tout dans le match facilitant ainsi la tâche à son futur bourreau, le n°1 Danois August Holmgren, qui ne s’est pas gêné pour lui coller un cuisant 6/0 après avoir gagné le premier set par 6/2.
3 à 1 en faveur du Danemark, qui rejoint, donc, le Groupe l mondial, alors que les nôtres vont retrouver leur ancienne classe en attendant des journées meilleures avec, surtout, des joueurs qui mouillent bien leur maillot pour l’amour de leur pays.
La suite du programme du Groupe mondial
Ci-dessous la suite des rencontres du Groupe mondial en commençant par les quarts de finale:
- Hier lundi à Turin, on a joué la Croatie vs Italie.
- Aujourd’hui à Innsbruck, Grande-Bretagne vs Allemagne.
- Mercredi à Madrid, Kazakhstan vs Serbie.
- Jeudi à Madrid, Russie vs Suède.
- Vendredi, on jouera à Madrid la 1ère demi-finale et samedi, la seconde pour se retrouver dimanche, toujours à Madrid, pour la finale.
