Contrairement à beaucoup de pays arabes ou africains gâtés par mère nature, mais de niveau socioéconomique comparable et parfois même inférieur à celui de notre pays, et hormis le phosphate et d’autres ressources minières plus ou moins abondantes dans notre sous-sol, le Royaume du Maroc n’a jamais pu compter sur d’autres ressources que celles très précieuses de son riche patrimoine humain, historique et culturel. Faute de pétrole et de gaz qui se sont souvent avérés être de véritables malédictions et autant de freins au développement pour certains pays qui en ont, sans que leurs peuples ne puissent en profiter, le Maroc ne dispose que d’une seule huile, celle du coude, et d’une seule énergie, celle du génie, de l’ambition et de la volonté infinie de ses enfants.
Véritable fureur de vaincre, de réussir et de survivre à laquelle nous devons notre culot légendaire et notre capacité à faire des miracles, c’est à cette même énergie renouvelable à souhait que nous devons certaines de nos prouesses mémorables comme la Révolution du Roi et du Peuple, la Marche Verte, la récupération de Oued Eddahab, ainsi qu’une multitude d’exploits sportifs, économiques et organisationnels, notamment lors de la gestion de crises aussi ravageuses que celle du Covid ou du récent séisme. Aujourd’hui et toujours grâce à cette soif insatiable de réussir, notre pays vient de décrocher le privilège de l’organisation de l’édition centenaire de la Coupe du Monde de Football.
Au-delà de la fierté qu’un tel honneur doit nous procurer, c’est surtout les espoirs qu’il fait naître pour l’essor tant attendu de notre pays qui importent le plus. Dans un contexte mondial marqué par une profonde crise, où le Maroc est confronté aux aléas autant économiques que ceux politiques liés à la situation incertaine de notre région, ainsi que climatiques dont nous subissons une terrible sécheresse, l’organisation de cette grandiose édition de la Coupe du Monde ne manquera pas d’impacter favorablement notre développement socioéconomique de manière on ne peut plus rapide.
Les innombrables chantiers structurants qui seront initiés, conjugués aux efforts exceptionnels de remise à niveau de nos infrastructures routières, hôtelières, sanitaires et autres, qui seront déployés à très court terme, auront l’effet de boost qui nous a longtemps fait défaut pour propulser notre pays et l’installer définitivement en tant que puissance régionale incontestable. Le pas de géant franchi par nos voisins espagnols, par la seule grâce de l’organisation du Mondial de 1982, alors que leur pays venait à peine de s’affranchir de la dictature franquiste avec son legs de misère et de sous-développement socioéconomique, est à cet égard très édifiant.
Véritable fureur de vaincre, de réussir et de survivre à laquelle nous devons notre culot légendaire et notre capacité à faire des miracles, c’est à cette même énergie renouvelable à souhait que nous devons certaines de nos prouesses mémorables comme la Révolution du Roi et du Peuple, la Marche Verte, la récupération de Oued Eddahab, ainsi qu’une multitude d’exploits sportifs, économiques et organisationnels, notamment lors de la gestion de crises aussi ravageuses que celle du Covid ou du récent séisme. Aujourd’hui et toujours grâce à cette soif insatiable de réussir, notre pays vient de décrocher le privilège de l’organisation de l’édition centenaire de la Coupe du Monde de Football.
Au-delà de la fierté qu’un tel honneur doit nous procurer, c’est surtout les espoirs qu’il fait naître pour l’essor tant attendu de notre pays qui importent le plus. Dans un contexte mondial marqué par une profonde crise, où le Maroc est confronté aux aléas autant économiques que ceux politiques liés à la situation incertaine de notre région, ainsi que climatiques dont nous subissons une terrible sécheresse, l’organisation de cette grandiose édition de la Coupe du Monde ne manquera pas d’impacter favorablement notre développement socioéconomique de manière on ne peut plus rapide.
Les innombrables chantiers structurants qui seront initiés, conjugués aux efforts exceptionnels de remise à niveau de nos infrastructures routières, hôtelières, sanitaires et autres, qui seront déployés à très court terme, auront l’effet de boost qui nous a longtemps fait défaut pour propulser notre pays et l’installer définitivement en tant que puissance régionale incontestable. Le pas de géant franchi par nos voisins espagnols, par la seule grâce de l’organisation du Mondial de 1982, alors que leur pays venait à peine de s’affranchir de la dictature franquiste avec son legs de misère et de sous-développement socioéconomique, est à cet égard très édifiant.
Majd EL ATOUABI
