Bon nombre de recherches scientifiques ont tiré la sonnette d’alarme sur le risque accru de contaminations graves des femmes enceintes, notamment un risque élevé d’avortement, de pré-éclampsie, de naissance prématurée, de mort fœtale intra-utérine et d'accouchement en urgence par césarienne. Ces risques auxquels sont exposés les futures mamans sont accentués par la propagation du variant Delta et la faible couverture vaccinale des femmes enceintes selon le ministère. C'est ainsi que le ministre de la Santé Khalid Ait Taleb a décidé de mettre à jour le protocole de prise en charge des femmes enceintes, des femmes allaitantes et des nouveau-nés.
En effet, la Direction de la population a dressé une liste de recommandations de mise à jour des protocoles de prise en charge en consensus avec les experts nationaux de la santé maternelle et néonatale et les membres des sociétés savantes. Parmi elles, on retrouve une injonction d’«accélérer le rythme de la vaccination de toutes les femmes enceintes quel que soit le terme de la grossesse avec l'utilisation du vaccin inactivé pour les femmes enceintes au premier trimestre et l'utilisation de tous les types de vaccins disponibles actuellement au Maroc pour les femmes en 2e et 3e trimestres», les femmes enceintes devenant des cibles prioritaires de vaccination.
En outre, on retrouve sur la même liste une série de mesures de sensibilisation des femmes concernées, la réduction des «classes de mères» à 8 personnes et «l'interdiction d'accès aux salles d'attente et aux salles de consultation à toute personne non indispensable». De plus, les structures désignées pour la prise en charge des personnes «cas possibles et confirmés» Covid-19 doivent disposer d’un espace réservé aux femmes enceintes, tandis que les maternités et maisons d’accouchement doivent mettre en place un espace réservé aux «cas possibles et confirmés».
Dans le même contexte, le ministère rappelle qu’il n’est pas recommandé de séparer la mère contaminée et son nouveau-né. Cependant, et afin de respecter les mesures sécuritaires, il est possible d’assurer des contacts peau à peau de la mère contaminée avec son nouveau-né, ainsi que la mise au sein lorsque l'état de santé de la mère et du nouveau-né le tolèrent.
Enfin, concernant la prise en charge obstétricale, le ministère considère que le mode d’accouchement ne doit pas changer, sauf dans les formes graves de contamination pour «sauvetage maternel et/ou fœtal selon le terme de la grossesse». Par précaution, «chez tous les nouveau-nés de mères atteintes de la COVID 19, un test de dépistage PCR doit être réalisé à 24 heures de vie».
En effet, la Direction de la population a dressé une liste de recommandations de mise à jour des protocoles de prise en charge en consensus avec les experts nationaux de la santé maternelle et néonatale et les membres des sociétés savantes. Parmi elles, on retrouve une injonction d’«accélérer le rythme de la vaccination de toutes les femmes enceintes quel que soit le terme de la grossesse avec l'utilisation du vaccin inactivé pour les femmes enceintes au premier trimestre et l'utilisation de tous les types de vaccins disponibles actuellement au Maroc pour les femmes en 2e et 3e trimestres», les femmes enceintes devenant des cibles prioritaires de vaccination.
En outre, on retrouve sur la même liste une série de mesures de sensibilisation des femmes concernées, la réduction des «classes de mères» à 8 personnes et «l'interdiction d'accès aux salles d'attente et aux salles de consultation à toute personne non indispensable». De plus, les structures désignées pour la prise en charge des personnes «cas possibles et confirmés» Covid-19 doivent disposer d’un espace réservé aux femmes enceintes, tandis que les maternités et maisons d’accouchement doivent mettre en place un espace réservé aux «cas possibles et confirmés».
Dans le même contexte, le ministère rappelle qu’il n’est pas recommandé de séparer la mère contaminée et son nouveau-né. Cependant, et afin de respecter les mesures sécuritaires, il est possible d’assurer des contacts peau à peau de la mère contaminée avec son nouveau-né, ainsi que la mise au sein lorsque l'état de santé de la mère et du nouveau-né le tolèrent.
Enfin, concernant la prise en charge obstétricale, le ministère considère que le mode d’accouchement ne doit pas changer, sauf dans les formes graves de contamination pour «sauvetage maternel et/ou fœtal selon le terme de la grossesse». Par précaution, «chez tous les nouveau-nés de mères atteintes de la COVID 19, un test de dépistage PCR doit être réalisé à 24 heures de vie».