Les NFT, ce sont des sommes colossales d’argent pour des pièces d’art numériques ! C’est ce qu’on entend dernièrement partout sur Internet. Un jpeg d’un artiste américain nommé «Beeple» vendu à 69,3 millions de dollars, le premier tweet de Jack Dorsey «Just setting up mytwttr» pour 2,9 millions de dollars, un code source du World Wide Web pour 5,4 millions de dollars. Ces ventes record ont ouvert les yeux du grand public sur une technologie adossée, tout comme les cryptomonnaies, à la blockchain. Pour les analystes de JP Morgan, les ventes mensuelles de NFT tournent actuellement autour de 2 milliards de dollars. Les NFT sont toutefois beaucoup plus que ça !
Qu’est-ce qu’un NFT ?
Un jeton non fongible (NFT) est essentiellement un jeton numérique unique qui existe sur une Blockchain spécifique qui permet d’enregistrer et de vérifier la propriété de tout élément numérisé donné. L’une des formes les plus populaires de NFT consiste à créer des oeuvres d’art cryptographiques uniques qui sont ensuite vendues au plus offrant. Le marché des jetons non fongibles (NFT) a explosé cette année dans un segment de 27 milliards de dollars du marché de la cryptographie selon un nouveau rapport de Chainalysis.
Des célébrités, des artistes, des gourous de la tech, tous sont conquis par ces NFT. D’ailleurs, le tapage médiatique provoqué par Facebook autour du métavers a également contribué à l’explosion du marché des NFT en cette fin d’année. En effet, des sociétés offrent aux investisseurs une exposition à l’espace en investissant dans des sociétés cotées en bourse actives dans l’espace NFT.
Des chiffres records
Le 4 janvier, Open Sea, l’une des principales places de marché dans ce domaine, a levé 300 millions de dollars (264 millions d’euros), portant sa valorisation à 13,3 milliards de dollars. Le marché des crypto-arts connaît un essor tel que le Financial Times l’évalue à 41 milliards de dollars. Soit presque autant que le marché de l’art traditionnel, estimé autour de 50 milliards de dollars.
Depuis le record de 69 millions de dollars décroché, en mars 2021, chez Christie’s, par un NFT de Beeple, un artiste alors inconnu, le monde entier s’est engouffré dans la brèche. Sotheby’s, qui en un an a vendu pour 100 millions de dollars de NFT, a comptabilisé 78% de nouveaux acheteurs, dont la moitié ont moins de 40 ans.
L’essor est tel que la marque Nike envisage de produire des sneakers virtuels, tandis que l’ex-première dame des Etats-Unis Melania Trump vend, en janvier, le NFT d’un dessin reproduisant son regard azur… Ce pic massif a deux raisons principales selon plusieurs chercheurs. D’abord sa valeur qui pourrait exploser à long terme pour les investisseurs, comme les oeuvres d’art traditionnel. Ensuite, grâce au statut social que la possession de ces NFT peut donner au sein de la communauté crypto, tout comme une Rolex ou une Lamborghini le fait dans la « vraie vie ».
Quid du Maroc ?
La première difficulté que rencontrent les artistes et les investisseurs au Maroc est celle de l’interdiction des crypto-monnaies. Toutefois, la tentation du profit semble plus forte que l’infraction à la réglementation. Le dernier rapport de Chainalysis confirme l’engouement des Marocains pour les monnaies virtuelles. Basée sur la valeur des crypto-monnaies reçues, celle du commerce de détail transféré et le volume d’échange, l’indice d’adoption globale des crypto-monnaies de la société américaine de recherche Chainalysis a classé le Maroc au 24ème rang mondial en 2021.
Cependant, les transactions en monnaie virtuelle sont formellement interdites et constituent une infraction à la réglementation des changes du pays. Une décision prise en 2017 dans le but de protéger le consommateur mais qui n’a qu’un faible pouvoir dissuasif sur les jeunes artistes qui sont de plus en plus nombreux à succomber à la tentation de ce marché virtuel.
Ali Kanane, designer graphique et dessinateur casablancais âgé de 34 ans, fait partie de quelques rares artistes marocains qui ont pénétré l’univers des NFT. Ainsi est née l’oeuvre : «Sir Philip Anthony Hopkins», mise aux enchères à 0,5 Ethereum (ETH), une valeur digitale qui correspond à 1.600 euros. « Pour l’instant, l’oeuvre a atteint 0,4 ETH et sa valeur peut aussi grimper et, qui sait, dépasser ce seuil de 0,5 ETH que j’ai fixé», espère Ali Kanane, optimiste.
Pour sa part, Mehdi Ayache, designer et directeur artistique multidisciplinaire, créateur des NFT, nous annonce que « La mondialisation dont on a parlé suffisamment durant les années 90 a atteint la création. Le Maroc est entrain de rater le virage à cause d’un lobby qui résiste à la technologie et les NFTs ne sont que le petit glacier qui cache un iceberg immense ». Cet artiste plaide pour « documenter et nourrir l’art qui ira éternellement vers le nouveau monde virtuel... ».
Cependant, le flou législatif entourant les NFTs rend difficile la protection des utilisateurs au Maroc.
Qu’est-ce qu’un NFT ?
Un jeton non fongible (NFT) est essentiellement un jeton numérique unique qui existe sur une Blockchain spécifique qui permet d’enregistrer et de vérifier la propriété de tout élément numérisé donné. L’une des formes les plus populaires de NFT consiste à créer des oeuvres d’art cryptographiques uniques qui sont ensuite vendues au plus offrant. Le marché des jetons non fongibles (NFT) a explosé cette année dans un segment de 27 milliards de dollars du marché de la cryptographie selon un nouveau rapport de Chainalysis.
Des célébrités, des artistes, des gourous de la tech, tous sont conquis par ces NFT. D’ailleurs, le tapage médiatique provoqué par Facebook autour du métavers a également contribué à l’explosion du marché des NFT en cette fin d’année. En effet, des sociétés offrent aux investisseurs une exposition à l’espace en investissant dans des sociétés cotées en bourse actives dans l’espace NFT.
Des chiffres records
Le 4 janvier, Open Sea, l’une des principales places de marché dans ce domaine, a levé 300 millions de dollars (264 millions d’euros), portant sa valorisation à 13,3 milliards de dollars. Le marché des crypto-arts connaît un essor tel que le Financial Times l’évalue à 41 milliards de dollars. Soit presque autant que le marché de l’art traditionnel, estimé autour de 50 milliards de dollars.
Depuis le record de 69 millions de dollars décroché, en mars 2021, chez Christie’s, par un NFT de Beeple, un artiste alors inconnu, le monde entier s’est engouffré dans la brèche. Sotheby’s, qui en un an a vendu pour 100 millions de dollars de NFT, a comptabilisé 78% de nouveaux acheteurs, dont la moitié ont moins de 40 ans.
L’essor est tel que la marque Nike envisage de produire des sneakers virtuels, tandis que l’ex-première dame des Etats-Unis Melania Trump vend, en janvier, le NFT d’un dessin reproduisant son regard azur… Ce pic massif a deux raisons principales selon plusieurs chercheurs. D’abord sa valeur qui pourrait exploser à long terme pour les investisseurs, comme les oeuvres d’art traditionnel. Ensuite, grâce au statut social que la possession de ces NFT peut donner au sein de la communauté crypto, tout comme une Rolex ou une Lamborghini le fait dans la « vraie vie ».
Quid du Maroc ?
La première difficulté que rencontrent les artistes et les investisseurs au Maroc est celle de l’interdiction des crypto-monnaies. Toutefois, la tentation du profit semble plus forte que l’infraction à la réglementation. Le dernier rapport de Chainalysis confirme l’engouement des Marocains pour les monnaies virtuelles. Basée sur la valeur des crypto-monnaies reçues, celle du commerce de détail transféré et le volume d’échange, l’indice d’adoption globale des crypto-monnaies de la société américaine de recherche Chainalysis a classé le Maroc au 24ème rang mondial en 2021.
Cependant, les transactions en monnaie virtuelle sont formellement interdites et constituent une infraction à la réglementation des changes du pays. Une décision prise en 2017 dans le but de protéger le consommateur mais qui n’a qu’un faible pouvoir dissuasif sur les jeunes artistes qui sont de plus en plus nombreux à succomber à la tentation de ce marché virtuel.
Ali Kanane, designer graphique et dessinateur casablancais âgé de 34 ans, fait partie de quelques rares artistes marocains qui ont pénétré l’univers des NFT. Ainsi est née l’oeuvre : «Sir Philip Anthony Hopkins», mise aux enchères à 0,5 Ethereum (ETH), une valeur digitale qui correspond à 1.600 euros. « Pour l’instant, l’oeuvre a atteint 0,4 ETH et sa valeur peut aussi grimper et, qui sait, dépasser ce seuil de 0,5 ETH que j’ai fixé», espère Ali Kanane, optimiste.
Pour sa part, Mehdi Ayache, designer et directeur artistique multidisciplinaire, créateur des NFT, nous annonce que « La mondialisation dont on a parlé suffisamment durant les années 90 a atteint la création. Le Maroc est entrain de rater le virage à cause d’un lobby qui résiste à la technologie et les NFTs ne sont que le petit glacier qui cache un iceberg immense ». Cet artiste plaide pour « documenter et nourrir l’art qui ira éternellement vers le nouveau monde virtuel... ».
Cependant, le flou législatif entourant les NFTs rend difficile la protection des utilisateurs au Maroc.
Hiba CHAKER
Repères
El Grande Toto ou quand la musique passe au NFT
Premier artiste à « dropper » une musique en NFT, EL Grande Toto a pu sortir en exclusivité son titre « Embêté », issu de son prochain album (en cours de préparation), en NFT, en partenariat avec une boîte française – myNFTlab - pour 0,2 ETH (soit environ 8000 DH) le morceau. Une offre limitée à seulement 1000 exemplaires ! D’ailleurs, les NFT du titre Embêté sont accompagnés de bonus VIP-Fan uniques et distribués aléatoirement aux acheteurs, sachant que 10% des revenus générés par cette opération seront reversés à une association marocaine de lutte contre le cancer.
Achetez des tickets pour votre festival en NFT
Le Moga, fameux festival électro au Maroc, après deux années d’annulation successive, l’édition marocaine du festival revient en 2022 à Essaouira, du 30 septembre au 2 octobre prochain. Afin de soutenir ses équipes, le festival met en vente 10 NFT Legendary Edition et 100 NFT Epic Edition. Il donne accès à un enregistrement audio de haute qualité de la performance live du maâlem Omar Khayat avec le duo canadien Parallels, et permet à la fois de soutenir les artistes et de tenter la chance de remporter un pass accès illimité aux prochaines éditions du Moga à Caparica (Portugal) et à Essaouira.
L'info...Graphie
Ali Kanane
Créateur de l’une des premières oeuvres d’art digitales marocaines en NFT
L’artiste casablancais Ali Kanane a lancé sa première oeuvre digitale en NFT (Non-Fungible Token, ou jeton non divisible) au mois d’août 2021. Rendant hommage au célèbre acteur Anthony Hopkins dans son rôle de Dr Ford dans la série à succès Westworld, l’oeuvre est l’une des toutes premières de son genre par un artiste marocain.
Pour célébrer ce lancement, l’artiste a également mis en vente une série limitée à 40 exemplaires d’impressions fines de son oeuvre, épuisés en seulement 72 heures, témoignant de l’engouement du public pour ce nouveau type d’art. « Mon objectif à travers cette oeuvre était tout d’abord de rendre hommage à Sir Hopkins, pour qui j’ai une immense admiration », nous annonce l’artiste.
« L’idée m’est ensuite venue d’en faire un vrai objet de collection, à l’image des tableaux physiques. Pour cela, et vu mon background de concepteur de jeux vidéo, la technologie Blockchain et le standard NFT ont été des choix évidents. Au vu des retours du public, je pense que cette technologie ouvre de nouveaux horizons aux artistes en leur permettant d’atteindre rapidement et efficacement une audience mondiale et de transcender les frontières, particulièrement en ces temps de pandémie où les expositions sont compliquées à monter».
Pour célébrer ce lancement, l’artiste a également mis en vente une série limitée à 40 exemplaires d’impressions fines de son oeuvre, épuisés en seulement 72 heures, témoignant de l’engouement du public pour ce nouveau type d’art. « Mon objectif à travers cette oeuvre était tout d’abord de rendre hommage à Sir Hopkins, pour qui j’ai une immense admiration », nous annonce l’artiste.
« L’idée m’est ensuite venue d’en faire un vrai objet de collection, à l’image des tableaux physiques. Pour cela, et vu mon background de concepteur de jeux vidéo, la technologie Blockchain et le standard NFT ont été des choix évidents. Au vu des retours du public, je pense que cette technologie ouvre de nouveaux horizons aux artistes en leur permettant d’atteindre rapidement et efficacement une audience mondiale et de transcender les frontières, particulièrement en ces temps de pandémie où les expositions sont compliquées à monter».
Réglementation
Vers une cryptomonnaie créée et garantie par BM
Figurant parmi les recommandations du Groupe d’Action Financière (GAFI), la réglementation de l’usage des cryptomonnaies sur le Net est d’autant plus nécessaire que le nombre de ses utilisateurs augmente de jour en jour. Conscient de cela, le gouvernement prépare un nouveau projet de loi. Le Maroc compte encadrer l’usage des monnaies virtuelles par une nouvelle législation, a fait savoir la ministre de l’Economie et des Finances, Nadia Fettah Alaoui, au début de l’année 2022.
Le gouvernement est en cours de préparation d’un cadre juridique régissant les cryptomonnaies, qui sont de plus en plus utilisées, aussi bien dans le commerce que dans les transactions financières, en dehors de la légalité. Compte tenu de l’évolution de ce type d’instruments d’échange sur le Net, tel que le Bitcoin, il devient de plus en plus urgent de légiférer pour éviter qu’il soit employé dans le marché noir.
Une déclaration conjointe du ministère de l’Économie et des Finances et de Bank Al-Maghrib, datant de 2017, avait mis en garde contre les dangers de l’emploi des cryptomonnaies dans le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Bien qu’elle n’ait pas donné davantage de détails sur le projet de loi en préparation, l’Argentière du Royaume a souligné que son département examine la possibilité de mettre en place une cryptomonnaie 100% marocaine, élaborée et garantie par Bank Al-Maghrib.
La légalisation des cryptomonnaies n’est pas seulement une question de sécurité financière pour les utilisateurs, elle obéit à l’exigence de se conformer aux recommandations du GAFI. La Task-force donne le choix aux pays de réguler ou de proscrire des monnaies virtuelles afin de prévenir leur usage à des fins criminelles, blanchiment d’argent ou terrorisme.
Le gouvernement est en cours de préparation d’un cadre juridique régissant les cryptomonnaies, qui sont de plus en plus utilisées, aussi bien dans le commerce que dans les transactions financières, en dehors de la légalité. Compte tenu de l’évolution de ce type d’instruments d’échange sur le Net, tel que le Bitcoin, il devient de plus en plus urgent de légiférer pour éviter qu’il soit employé dans le marché noir.
Une déclaration conjointe du ministère de l’Économie et des Finances et de Bank Al-Maghrib, datant de 2017, avait mis en garde contre les dangers de l’emploi des cryptomonnaies dans le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Bien qu’elle n’ait pas donné davantage de détails sur le projet de loi en préparation, l’Argentière du Royaume a souligné que son département examine la possibilité de mettre en place une cryptomonnaie 100% marocaine, élaborée et garantie par Bank Al-Maghrib.
La légalisation des cryptomonnaies n’est pas seulement une question de sécurité financière pour les utilisateurs, elle obéit à l’exigence de se conformer aux recommandations du GAFI. La Task-force donne le choix aux pays de réguler ou de proscrire des monnaies virtuelles afin de prévenir leur usage à des fins criminelles, blanchiment d’argent ou terrorisme.
3 questions à Reda Hachimy, CEO et Fondateur de Capital Quant Agency
« NFTs et cryptomonnaies, vers un nouveau Maroc 3.0 »
- Comment les investisseurs en NFT peuvent-ils faire pour rapatrier l’argent ?
- L’investisseur doit au préalable disposer d’une e-wallet (sorte d’application mobile et/ou web où vous pouvez voir toutes vos crypto-monnaies), car les transactions commerciales sur les NFT (achat/vente) doivent se faire via la crypto-monnaie « Etherium » et sur des marchés de gré à gré ou sur des plateformes dédiées.
- Comment le Maroc peut-il prendre part dans ce nouveau marché des NFT qui est en plein essor ?
- Les NFT ne sont qu’une petite partie d’un développement beaucoup plus vaste dans le monde de la finance et des affaires. Le Maroc peut très bien profiter de ce nouveau marché, en encourageant des Fintech innovantes et 100% marocaines spécialisées dans la modélisation, analyse quantitative et technologies des marchés financiers. On peut créer des plateformes d’échanges que ce soit en termes de crypto-monnaies et/ou de NFTs, et pourquoi ne pas mettre en place une crypto-monnaie 100% marocaine (« e-MAD » à titre d’exemple).
- Quels sont les risques et les limites de ce système encore jeune ?
- Il est important de comprendre que la valeur des NFTs subit des variations de prix. Il faut alors envisager d’acheter un NFT après une recherche appropriée, comme c’est le cas pour toute autre forme d’investissement et/ou de placement. Étant donné que les NFT ne sont pas encore réglementés, ils peuvent soulever un certain nombre de problèmes juridiques, qui ne se limitent pas au droit d’auteur, par exemple le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
- L’investisseur doit au préalable disposer d’une e-wallet (sorte d’application mobile et/ou web où vous pouvez voir toutes vos crypto-monnaies), car les transactions commerciales sur les NFT (achat/vente) doivent se faire via la crypto-monnaie « Etherium » et sur des marchés de gré à gré ou sur des plateformes dédiées.
- Comment le Maroc peut-il prendre part dans ce nouveau marché des NFT qui est en plein essor ?
- Les NFT ne sont qu’une petite partie d’un développement beaucoup plus vaste dans le monde de la finance et des affaires. Le Maroc peut très bien profiter de ce nouveau marché, en encourageant des Fintech innovantes et 100% marocaines spécialisées dans la modélisation, analyse quantitative et technologies des marchés financiers. On peut créer des plateformes d’échanges que ce soit en termes de crypto-monnaies et/ou de NFTs, et pourquoi ne pas mettre en place une crypto-monnaie 100% marocaine (« e-MAD » à titre d’exemple).
- Quels sont les risques et les limites de ce système encore jeune ?
- Il est important de comprendre que la valeur des NFTs subit des variations de prix. Il faut alors envisager d’acheter un NFT après une recherche appropriée, comme c’est le cas pour toute autre forme d’investissement et/ou de placement. Étant donné que les NFT ne sont pas encore réglementés, ils peuvent soulever un certain nombre de problèmes juridiques, qui ne se limitent pas au droit d’auteur, par exemple le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
Recueillis par H. C.