La prolifération des menaces cybernétiques a toujours préoccupé les autorités compétentes, en témoigne les mesures prises par le Maroc depuis au moins 2007 sur le plan organisationnel et réglementaire en matière de lutte contre la cybercriminalité. Intervenant lors d’une rencontre virtuelle organisée à l’occasion du lancement par l’Ecole nationale des sciences appliquées (ENSA) de Marrakech d’une filière dédiée au « Génie Cyber-Défense et Systèmes de Télécommunications Embarqués », l’expert en systèmes d’information et cybersécurité et ancien Secrétaire général du département en charge des Technologies de l’Information, Taieb Debbagh, a mis en exergue les différents chantiers et mécanismes de protection et de défense des systèmes d’informations lancés par le Royaume.
Il s’agit notamment de la mise en place d’une stratégie nationale de cybersécurité et de sécurité des systèmes d’information, la création de la Direction Générale de la Sécurité des Systèmes d’Information (DGSSI) et la Commission Nationale de Contrôle de la Protection des Données Personnelles (CNDP)…, a-t-il détaillé.
Renforcer la formation dans le domaine cybersécurité Le facteur humain est la clé de voûte de la cybersécurité, d’où la nécessité de renforcer le volet de la formation dans ce domaine pour pallier le manque de profils formés en cybersécurité sur le marché du travail marocain, a-t-il ajouté.
De son côté, Ali Azzouzi, Président directeur général d’une entreprise spécialisée en sécurité de l’information, a mis l’accent sur une pénurie mondiale en ressources qualifiées dans le domaine de la cybersécurité, estimant que les besoins mondiaux en ingénieurs spécialisés en cybersécurité dépassent les 3 millions.
« Le Maroc n’échappe pas lui aussi à cette règle et est appelé à consentir davantage d’efforts dans le domaine de la formation d’ingénieurs spécialisés en cybersécurité, un domaine qui représente l’avenir des pays et un aspect important de leur souveraineté », a expliqué cet expert en sécurité de l’information ayant mené plusieurs projets de conseil et d’intégration de solutions de sécurité au Maroc et à l’étranger.
Le responsable de sécurité des systèmes d’information dans une société d’assurance marocaine, Hassan Moussafir, a mis l’accent sur les menaces cybernétiques qui sont de nature à peser sur le télétravail, un mode de travail qui a été adopté et encouragé en raison de la pandémie de Covid-19, mais qui doit être accompagné de plusieurs mesures de sécurité.
Il a, par la même occasion, appelé à sensibiliser en continu les ressources humaines à travers des bulletins d’alerte et à rappeler toujours au personnel les bonnes pratiques à adopter pour protéger le patrimoine immatériel de l’entreprise et des organismes étatiques.
Il s’agit notamment de la mise en place d’une stratégie nationale de cybersécurité et de sécurité des systèmes d’information, la création de la Direction Générale de la Sécurité des Systèmes d’Information (DGSSI) et la Commission Nationale de Contrôle de la Protection des Données Personnelles (CNDP)…, a-t-il détaillé.
Renforcer la formation dans le domaine cybersécurité Le facteur humain est la clé de voûte de la cybersécurité, d’où la nécessité de renforcer le volet de la formation dans ce domaine pour pallier le manque de profils formés en cybersécurité sur le marché du travail marocain, a-t-il ajouté.
De son côté, Ali Azzouzi, Président directeur général d’une entreprise spécialisée en sécurité de l’information, a mis l’accent sur une pénurie mondiale en ressources qualifiées dans le domaine de la cybersécurité, estimant que les besoins mondiaux en ingénieurs spécialisés en cybersécurité dépassent les 3 millions.
« Le Maroc n’échappe pas lui aussi à cette règle et est appelé à consentir davantage d’efforts dans le domaine de la formation d’ingénieurs spécialisés en cybersécurité, un domaine qui représente l’avenir des pays et un aspect important de leur souveraineté », a expliqué cet expert en sécurité de l’information ayant mené plusieurs projets de conseil et d’intégration de solutions de sécurité au Maroc et à l’étranger.
Le responsable de sécurité des systèmes d’information dans une société d’assurance marocaine, Hassan Moussafir, a mis l’accent sur les menaces cybernétiques qui sont de nature à peser sur le télétravail, un mode de travail qui a été adopté et encouragé en raison de la pandémie de Covid-19, mais qui doit être accompagné de plusieurs mesures de sécurité.
Il a, par la même occasion, appelé à sensibiliser en continu les ressources humaines à travers des bulletins d’alerte et à rappeler toujours au personnel les bonnes pratiques à adopter pour protéger le patrimoine immatériel de l’entreprise et des organismes étatiques.
S. M.