Le calme précaire au Proche-Orient n’aura été que de courte durée. En effet, à peine quelques heures après l’annonce du cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, une autre zone de conflit, que l’on croyait gelée, a soudainement explosé.
Alors que tout le monde pensait que Bachar al-Assad, soutenu par la Russie, l’Iran et ses proxies (notamment le Hezbollah), avait réussi à consolider son pouvoir et sa mainmise sur une grande partie du territoire syrien, une offensive éclair du groupe d’opposition Hayat Tahrir al-Cham (HTS) a bousculé l’armée syrienne en reprenant la deuxième plus grande ville du pays, Alep, sous les yeux médusés des observateurs internationaux.
Mais voilà que le Hezbollah, qui fournissait le gros des contingents de combattants en Syrie, est sorti affaibli de sa guerre contre Israël, avec un commandement décapité et des moyens réduits. Téhéran, pour sa part, ne veut plus s’engager dans des aventures périlleuses, sentant le vent tourner avec l’arrivée de Trump et sa célèbre doctrine de “pression maximale”, visant à isoler économiquement et diplomatiquement le régime chiite.
Cet échec traduit un reflux de la domination iranienne exercée sur le Proche et le Moyen-Orient depuis la chute de Saddam Hussein. Malgré toute la propagande qui tente de présenter le régime des Mollahs comme un protecteur des musulmans et un bouclier contre le sionisme, l’Iran poursuit avant tout des objectifs hégémoniques à travers un réseau tentaculaire de proxies dans l’ensemble du monde arabe.
Maintenant que l’Iran, acculé, tente de renouer le dialogue avec le monde arabe, notamment avec le Maroc, que restera-t-il de ses ambitions de domination régionale ? Partout où il s’est impliqué, ce régime a laissé derrière lui des pays dévastés : au Yémen, au Liban, en Irak et en Syrie. Téhéran a également essayé de déstabiliser le Maroc en armant le Polisario, sans grand succès.
Comme la Libye de Kadhafi l’a fait avant lui, l’Iran des Mollahs finira par lâcher le Polisario. L’Algérie, quant à elle, héritera du bébé mort-né qui, voyant ses espoirs anéantis, deviendra tôt ou tard un problème de sécurité interne pour la junte algérienne.
Alors que tout le monde pensait que Bachar al-Assad, soutenu par la Russie, l’Iran et ses proxies (notamment le Hezbollah), avait réussi à consolider son pouvoir et sa mainmise sur une grande partie du territoire syrien, une offensive éclair du groupe d’opposition Hayat Tahrir al-Cham (HTS) a bousculé l’armée syrienne en reprenant la deuxième plus grande ville du pays, Alep, sous les yeux médusés des observateurs internationaux.
Mais voilà que le Hezbollah, qui fournissait le gros des contingents de combattants en Syrie, est sorti affaibli de sa guerre contre Israël, avec un commandement décapité et des moyens réduits. Téhéran, pour sa part, ne veut plus s’engager dans des aventures périlleuses, sentant le vent tourner avec l’arrivée de Trump et sa célèbre doctrine de “pression maximale”, visant à isoler économiquement et diplomatiquement le régime chiite.
Cet échec traduit un reflux de la domination iranienne exercée sur le Proche et le Moyen-Orient depuis la chute de Saddam Hussein. Malgré toute la propagande qui tente de présenter le régime des Mollahs comme un protecteur des musulmans et un bouclier contre le sionisme, l’Iran poursuit avant tout des objectifs hégémoniques à travers un réseau tentaculaire de proxies dans l’ensemble du monde arabe.
Maintenant que l’Iran, acculé, tente de renouer le dialogue avec le monde arabe, notamment avec le Maroc, que restera-t-il de ses ambitions de domination régionale ? Partout où il s’est impliqué, ce régime a laissé derrière lui des pays dévastés : au Yémen, au Liban, en Irak et en Syrie. Téhéran a également essayé de déstabiliser le Maroc en armant le Polisario, sans grand succès.
Comme la Libye de Kadhafi l’a fait avant lui, l’Iran des Mollahs finira par lâcher le Polisario. L’Algérie, quant à elle, héritera du bébé mort-né qui, voyant ses espoirs anéantis, deviendra tôt ou tard un problème de sécurité interne pour la junte algérienne.