L’affaire a des allures de gag dont même les plus inspirés scénaristes n’auraient pu imaginer le dénouement. Il s’agit des propos diffamatoires et anti-marocains tenus par le très mal inspiré entraîneur algérien de l’équipe nationale de Tanzanie, Adel Amrouche, à la veille de sa confrontation avec les Lions de l’Atlas. Cet homme, jusqu’ici très posé et mesuré dans ses sorties médiatiques, s’est laissé aspirer par le tourbillon de haine et de propagande que les médias algériens brassent contre notre pays depuis des années.
Un maelstrom de propagande qui n’a fait que s’intensifier avec l’actuelle Coupe d’Afrique des Nations où les performances de notre équipe nationale rendent verts de jalousie des voisins de l’Est très ulcérés par les contre-performances de leur équipe et qu’ils tentent déjà de mettre sur le compte d’une supposée «Kawlassa» (lobbyisme malsain) de nos autorités sportives. Résultat de cette sortie hasardeuse de Amrouche dont les éléments de langage lui ont certainement été soufflés depuis Alger, l’entraîneur de la Tanzanie a écopé d’une interdiction d’entraîner de huit matchs, assortie d’une amende de 10.000 euros et son intérim qui a un fort goût de pré-licenciement sera assuré par son bien-nommé adjoint, Hamed Morocco. Oui, vous avez bien lu, ce gars qu’il fallait inventer si on devait le trouver s’appelle bien Morocco, comme le pays qu’Amrouche a diffamé et qui lui a valu sa suspension !
S’il y a un enseignement majeur à tirer de cette affaire rocambolesque, c’est que le Maroc d’aujourd’hui n’est plus la proie facile de toutes les manigances et de tous les coups tordus sportifs ou antisportifs qu’il fut pendant une certaine époque où la scène sportive continentale et même internationale était le terrain de chasse sans partage de certains supposés ténors africains. Le Maroc d’aujourd’hui est un adversaire honorable certes, mais avec lequel on ne peut pas rigoler que ce soit sur ou en dehors des terrains. Plus que jamais outillé pour défendre ses intérêt sportifs, qu’ils soient d’ordre administratif, technique, logistique ou même politique, notre pays trône désormais en haut du podium des puissances sportives à l’échelle continentale, mais aussi internationale. Et ses chances réelles comme sa capacité de remporter l’actuelle CAN sont une évidence que seuls les aveugles et les abrutis finis ne peuvent ou ne veulent voir.
Un maelstrom de propagande qui n’a fait que s’intensifier avec l’actuelle Coupe d’Afrique des Nations où les performances de notre équipe nationale rendent verts de jalousie des voisins de l’Est très ulcérés par les contre-performances de leur équipe et qu’ils tentent déjà de mettre sur le compte d’une supposée «Kawlassa» (lobbyisme malsain) de nos autorités sportives. Résultat de cette sortie hasardeuse de Amrouche dont les éléments de langage lui ont certainement été soufflés depuis Alger, l’entraîneur de la Tanzanie a écopé d’une interdiction d’entraîner de huit matchs, assortie d’une amende de 10.000 euros et son intérim qui a un fort goût de pré-licenciement sera assuré par son bien-nommé adjoint, Hamed Morocco. Oui, vous avez bien lu, ce gars qu’il fallait inventer si on devait le trouver s’appelle bien Morocco, comme le pays qu’Amrouche a diffamé et qui lui a valu sa suspension !
S’il y a un enseignement majeur à tirer de cette affaire rocambolesque, c’est que le Maroc d’aujourd’hui n’est plus la proie facile de toutes les manigances et de tous les coups tordus sportifs ou antisportifs qu’il fut pendant une certaine époque où la scène sportive continentale et même internationale était le terrain de chasse sans partage de certains supposés ténors africains. Le Maroc d’aujourd’hui est un adversaire honorable certes, mais avec lequel on ne peut pas rigoler que ce soit sur ou en dehors des terrains. Plus que jamais outillé pour défendre ses intérêt sportifs, qu’ils soient d’ordre administratif, technique, logistique ou même politique, notre pays trône désormais en haut du podium des puissances sportives à l’échelle continentale, mais aussi internationale. Et ses chances réelles comme sa capacité de remporter l’actuelle CAN sont une évidence que seuls les aveugles et les abrutis finis ne peuvent ou ne veulent voir.
Souhail AMRABI