Les services de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) avaient entamé une opération d’audit et de révision globale de la procédure de passation et d'exécution d’un marché public relatif à l'acquisition de matériels logistiques, indique la DGSN dans un communiqué, ajoutant que cette opération a révélé un ensemble d'infractions et de dépassements imputés aux fonctionnaires de police mis en cause, qui sont respectivement un commissaire divisionnaire, un commissaire de police principal et un commandant de groupement, en plus d'un commissaire de police et d'un officier de paix.
Sur la base des résultats de l'opération de contrôle et d'audit, le Directeur général de la Sûreté nationale a émis une décision disciplinaire portant sur la suspension provisoire des responsables et cadres mis en cause, précise la même source.
Et de de poursuivre que la BNPJ a entamé des recherches et investigations approfondies sous la supervision du parquet compétent, suite à des soupçons de réception par ces responsables et cadres de biens matériels et d'avantages en nature pour permettre à une société bien déterminée d’exécuter un marché public, de divulgation du secret professionnel, d'exploitation par certains d'entre eux des voitures de service à des fins personnelles, et de participation à la dilapidation et au détournement de fonds publics.
L'enquête judiciaire a également concerné l’épouse d’un des responsables sécuritaires mis en cause, ainsi qu’un bijoutier de la ville de Meknès, suite à des soupçons de leur implication dans la présentation de récépissés et de bons falsifiés pour prouver une opération commerciale fictive aux fins de conférer un caractère légal à des transferts d'argent provenant d'une activité criminelle, relève le communiqué. L'investigation judiciaire menée dans le cadre de cette affaire, poursuit le communiqué, s’est étalée pour inclure l’enquête sur une présumée complicité entre les responsables et cadres de sûreté et un délégué de la société étrangère qui a exécuté cette transaction et qui est soupçonné d'avoir participé à la commission de ces actes criminels, ajoute le communiqué.
Les 8 mis en causes ont été déférés devant le parquet près de la Cour d'appel de Rabat, qui a supervisé le déroulement de l’enquête et ce, juste après avoir parachevé toutes les procédures et expertises techniques pour les besoins de l'enquête préliminaire menée dans le cadre de cette affaire, conclut la même source.
Sur la base des résultats de l'opération de contrôle et d'audit, le Directeur général de la Sûreté nationale a émis une décision disciplinaire portant sur la suspension provisoire des responsables et cadres mis en cause, précise la même source.
Et de de poursuivre que la BNPJ a entamé des recherches et investigations approfondies sous la supervision du parquet compétent, suite à des soupçons de réception par ces responsables et cadres de biens matériels et d'avantages en nature pour permettre à une société bien déterminée d’exécuter un marché public, de divulgation du secret professionnel, d'exploitation par certains d'entre eux des voitures de service à des fins personnelles, et de participation à la dilapidation et au détournement de fonds publics.
L'enquête judiciaire a également concerné l’épouse d’un des responsables sécuritaires mis en cause, ainsi qu’un bijoutier de la ville de Meknès, suite à des soupçons de leur implication dans la présentation de récépissés et de bons falsifiés pour prouver une opération commerciale fictive aux fins de conférer un caractère légal à des transferts d'argent provenant d'une activité criminelle, relève le communiqué. L'investigation judiciaire menée dans le cadre de cette affaire, poursuit le communiqué, s’est étalée pour inclure l’enquête sur une présumée complicité entre les responsables et cadres de sûreté et un délégué de la société étrangère qui a exécuté cette transaction et qui est soupçonné d'avoir participé à la commission de ces actes criminels, ajoute le communiqué.
Les 8 mis en causes ont été déférés devant le parquet près de la Cour d'appel de Rabat, qui a supervisé le déroulement de l’enquête et ce, juste après avoir parachevé toutes les procédures et expertises techniques pour les besoins de l'enquête préliminaire menée dans le cadre de cette affaire, conclut la même source.