C’est dans le cadre d’une série de visites à plusieurs sites de production et diffusion de radio ainsi que des installations de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA), qui servent à l’enregistrement du signal de diffusion des radios régionales, que la HACA et la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT) ont effectué cette visite à Dakhla.
Les interactions continues entre l’instance de régulation avec le pôle public de l’audiovisuel ont défini le cadre dans lequel ces visites ont été programmées. Le but de celles-ci étant de rendre des services de meilleure qualité pour les auditeurs de ces médias, comme le note la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle.
Un paysage audiovisuel plus riche et divers…
L’objectif est de réellement présenter les efforts consacrés par l’opérateur public historique et principal acteur du paysage audiovisuel national sur tout ce qui touche au développement et à la généralisation de la télévision numérique terrestre (TNT), ainsi que la couverture des chaînes de télévisions et les fréquences de radios du service public. Ce programme est mis en place à l’intention du Conseil Supérieur de la Communication Audiovisuelle comme instance délibérative de la HACA et prend la forme de Journées portes ouvertes.
La HACA étend les visites, en entente avec les opérateurs éditeurs de radios et de télévisions privées, aux studios et aux infrastructures de diffusion de ceux-ci. Cette information donnée par le communiqué de la HACA explique que cela entre dans le cadre de sa mission de veille à l’accès au citoyen à une diversité de choix d’une offre audiovisuelle qu’elle souhaite riche et de sa mobilisation pour la promotion de l’équité territoriale en ce qui concerne l’offre audiovisuelle.
Toutes ces visites ont donné lieu à l’aboutissement de plusieurs réunions entre des membres du CSCA ainsi que la totalité des opérateurs de radio et de télévision, tenues au siège de l’instance. Ces rencontres ont permis d’aborder des questions importantes et de pousser la réflexion commune entre les régulateurs et les éditeurs de services audiovisuels publics tout comme privés. Ces questions ont permis la réflexion commune, ce qui permet de promouvoir la diversité de l’offre, l’amélioration des contenus, la promotion de tout ce qui touche à la production nationale, à la transformation numérique de l’audiovisuel jusqu’à l’impact de la crise de la pandémie de la Covid-19 sur l’écosystème médiatique, conclut le communiqué de presse.
Les interactions continues entre l’instance de régulation avec le pôle public de l’audiovisuel ont défini le cadre dans lequel ces visites ont été programmées. Le but de celles-ci étant de rendre des services de meilleure qualité pour les auditeurs de ces médias, comme le note la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle.
Un paysage audiovisuel plus riche et divers…
L’objectif est de réellement présenter les efforts consacrés par l’opérateur public historique et principal acteur du paysage audiovisuel national sur tout ce qui touche au développement et à la généralisation de la télévision numérique terrestre (TNT), ainsi que la couverture des chaînes de télévisions et les fréquences de radios du service public. Ce programme est mis en place à l’intention du Conseil Supérieur de la Communication Audiovisuelle comme instance délibérative de la HACA et prend la forme de Journées portes ouvertes.
La HACA étend les visites, en entente avec les opérateurs éditeurs de radios et de télévisions privées, aux studios et aux infrastructures de diffusion de ceux-ci. Cette information donnée par le communiqué de la HACA explique que cela entre dans le cadre de sa mission de veille à l’accès au citoyen à une diversité de choix d’une offre audiovisuelle qu’elle souhaite riche et de sa mobilisation pour la promotion de l’équité territoriale en ce qui concerne l’offre audiovisuelle.
Toutes ces visites ont donné lieu à l’aboutissement de plusieurs réunions entre des membres du CSCA ainsi que la totalité des opérateurs de radio et de télévision, tenues au siège de l’instance. Ces rencontres ont permis d’aborder des questions importantes et de pousser la réflexion commune entre les régulateurs et les éditeurs de services audiovisuels publics tout comme privés. Ces questions ont permis la réflexion commune, ce qui permet de promouvoir la diversité de l’offre, l’amélioration des contenus, la promotion de tout ce qui touche à la production nationale, à la transformation numérique de l’audiovisuel jusqu’à l’impact de la crise de la pandémie de la Covid-19 sur l’écosystème médiatique, conclut le communiqué de presse.
Soukaïna GUEDIRA