La première mesure conseillée est de mettre en place un Comité de suivi et de veille dédié au seul tourisme incluant le gouvernement (plusieurs départements sont concernés), les régions touchées, les professionnels, les syndicats et le système financier (banques, leasing, bourse et fonds d’investissement). Ce comité doit prendre, au plus vite, les dispositions nécessaires pour permettre à ce secteur stratégique de reprendre ses activités.
L’AEI précise que les travaux de ce Comité doivent se poursuivre, audelà de 2021. Objectif : assurer la sauvegarde des entreprises de tourisme, veiller à la relance du secteur et retrouver, voire dépasser les niveaux d’activité d’avant 2020…
La 2ème recommandation consiste à inclure le tourisme et l’artisanat dans les dispositifs économiques d’urgence aux niveaux national et régional. A cet égard, les économistes Istiqlaliens suggèrent l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan d’urgence Juillet 2020 - décembre 2022 pour, entre autres, la réouverture progressive des destinations et équipements touristiques, le maintien d’un remplissage minimum des infrastructures d’accueil, et la préservation de l’emploi. Il est ainsi préconisé de construire une stratégie permettant à l’écosystème Tourisme de s’adapter aux nouvelles donnes post-Covid et prendre en compte la protection sanitaire…
La 3ème proposition est d’encourager le maintien des emplois, et soutenir l’activité des artisans et travailleurs indépendants. Il faut pour cela exonérer les entreprises concernées, qui préservent une moyenne de 50% de leur salariés entre 2020 et 2021, des charges sociales et fiscales (IR, CNSS) jusqu’à fin 2020, et les réduire de moitié pour 2021.
L’AEI précise que les travaux de ce Comité doivent se poursuivre, audelà de 2021. Objectif : assurer la sauvegarde des entreprises de tourisme, veiller à la relance du secteur et retrouver, voire dépasser les niveaux d’activité d’avant 2020…
La 2ème recommandation consiste à inclure le tourisme et l’artisanat dans les dispositifs économiques d’urgence aux niveaux national et régional. A cet égard, les économistes Istiqlaliens suggèrent l’élaboration et la mise en œuvre d’un plan d’urgence Juillet 2020 - décembre 2022 pour, entre autres, la réouverture progressive des destinations et équipements touristiques, le maintien d’un remplissage minimum des infrastructures d’accueil, et la préservation de l’emploi. Il est ainsi préconisé de construire une stratégie permettant à l’écosystème Tourisme de s’adapter aux nouvelles donnes post-Covid et prendre en compte la protection sanitaire…
La 3ème proposition est d’encourager le maintien des emplois, et soutenir l’activité des artisans et travailleurs indépendants. Il faut pour cela exonérer les entreprises concernées, qui préservent une moyenne de 50% de leur salariés entre 2020 et 2021, des charges sociales et fiscales (IR, CNSS) jusqu’à fin 2020, et les réduire de moitié pour 2021.
Renforcer les capacités professionnelles des RH
Pour la 4ème recommandation, il est suggéré de renforcer les capacités et habilités professionnelles des ressources humaines, et ce à travers deux mesures. La première est de mettre à profit la période de sous-activité pour promouvoir des programmes de formation dans les domaines de gestion, des services aux clients, du digital, de l’hygiène, du sanitaire et des langues (français, anglais, espagnol, chinois, russe) et les financer par l’OFPPT. Quant à la seconde mesure, il s’agit de « prendre en charge, sur la Taxe de formation professionnelle, 50% des salaires des personnes voulant prendre une année sabbatique pour se former ou se recycler ».
S’agissant de la 5ème recommandation, l’AEI propose de générer le cash et renforcer les ressources financières à court et moyen terme. Objectif : améliorer la compétitivité des entreprises par l’assainissement de leur situation financière et l’allégement de leurs structures de coût. Il est préconisé, entre autres, le lancement des opérations génératrices de cash en permettant aux clients d’acheter et payer à l’avance, à des prix de gros, des prestations touristiques (hébergement, transport, circuits de voyages…), et d’assurer ces achats à l’avance contre la perte du montant payé en cas d’annulation.
Autre mesure préconisée : alléger la structure des coûts d’exploitation et la fiscalité frappant les opérateurs du tourisme et d’artisanat pour en assurer la survie et en améliorer la compétitivité.
S’agissant de la 5ème recommandation, l’AEI propose de générer le cash et renforcer les ressources financières à court et moyen terme. Objectif : améliorer la compétitivité des entreprises par l’assainissement de leur situation financière et l’allégement de leurs structures de coût. Il est préconisé, entre autres, le lancement des opérations génératrices de cash en permettant aux clients d’acheter et payer à l’avance, à des prix de gros, des prestations touristiques (hébergement, transport, circuits de voyages…), et d’assurer ces achats à l’avance contre la perte du montant payé en cas d’annulation.
Autre mesure préconisée : alléger la structure des coûts d’exploitation et la fiscalité frappant les opérateurs du tourisme et d’artisanat pour en assurer la survie et en améliorer la compétitivité.
Adapter l’offre aux attentes de la classe moyenne
Pour la 7ème recommandation, il s’agit de créer un label marocain à portée internationale « Green & Safe », en établissant des procédures et normes écologiques et sanitaires et en veillant à leur stricte application. L’AEI demande également de reconsidérer le contenu de l’offre globale des principales activités touristiques et leur packaging, en mettant en place des offres packagées (transport, hébergement, animations) pour les nationaux en leur appliquant les tarifs octroyés aux TO, à travers les réceptifs et en direct…
La 9ème mesure consiste à reconquérir le marché marocain du voyage et du tourisme en adaptant l’offre aux attentes de la classe moyenne. Objectif : relancer et diversifier les marchés interne, puis international du tourisme et artisanat. Ce qui consiste, entre autres, à lancer une campagne de promotion du tourisme interne adaptée aux nouveaux et futurs enjeux du marché domestique.
Enfin, pour ce qui est de la 10ème recommandation, il est impératif de développer une nouvelle intelligence économique d’observation des pays émetteurs et cibler de nouveaux produits-marchés, en lançant une campagne de promotion ciblant les MRE préalablement à l’ouverture des frontières...
La 9ème mesure consiste à reconquérir le marché marocain du voyage et du tourisme en adaptant l’offre aux attentes de la classe moyenne. Objectif : relancer et diversifier les marchés interne, puis international du tourisme et artisanat. Ce qui consiste, entre autres, à lancer une campagne de promotion du tourisme interne adaptée aux nouveaux et futurs enjeux du marché domestique.
Enfin, pour ce qui est de la 10ème recommandation, il est impératif de développer une nouvelle intelligence économique d’observation des pays émetteurs et cibler de nouveaux produits-marchés, en lançant une campagne de promotion ciblant les MRE préalablement à l’ouverture des frontières...
A. CHANNAJE