2024 s’annonce laborieuse pour les gardes-frontières qui n’ont pas de répit. A peine le nouvel an a-t-il commencé que les éléments de la Sûreté nationale et de la Douane ont repris la lutte contre les réseaux de trafic de drogue. Le premier janvier, en début de soirée, un communiqué annonce que les éléments de la police, en collaboration avec leurs homologues de la Douane, ont mis la main sur une grosse quantité de drogues dures et de cocaïne dans le poste-frontière d’El Guerguerat. Ces cargaisons saisies étaient en route vers le Maroc en provenance de l’Afrique subsaharienne.
Cette opération intervient quelques jours après la saisie au même poste de 569 kg de chira, dissimulée à bord d’un camion de transport international de marchandises. Dans la mer, la Marine Royale a dû également intervenir la veille, ce qui a abouti à l’interception d’un navire sans pavillon ni documents, à 345 km au Sud-Ouest de Dakhla. En proie depuis toujours à une forte activité de trafic international, cette zone de passage stratégique et historique des flux commerciaux légaux ou illégaux, semble de plus en plus imperméable aux trafiquants et aux bandits de grands chemins qui prospéraient du temps des incursions du Polisario.
Les opérations fructueuses contre les tentatives de trafic se font de plus en plus nombreuses. Cela est dû à une meilleure maîtrise de la zone depuis que les Forces Armées Royales ont libéré le poste d’El Guerguerat, le 13 novembre 2020. En plus de sa plus-value militaire, l’intervention des FAR a eu également des effets positifs sur le contrôle du passage de marchandises, sachant que cette zone a été longtemps un carrefour de prédilection pour les passeurs et les narcotrafiquants. Finie l’époque de “Kandahar” où la contrebande et le trafic illégal foisonnaient sur fond du désordre que faisait régner le Polisario lorsqu’il bloquait la circulation.
Ce carrefour est désormais barricadé et mieux contrôlé, grâce aux travaux de réaménagement et de remblai effectués au lendemain de la libération du poste-frontalier, dont les effets continuent de se faire encore sentir jusqu’à aujourd’hui.
Cette opération intervient quelques jours après la saisie au même poste de 569 kg de chira, dissimulée à bord d’un camion de transport international de marchandises. Dans la mer, la Marine Royale a dû également intervenir la veille, ce qui a abouti à l’interception d’un navire sans pavillon ni documents, à 345 km au Sud-Ouest de Dakhla. En proie depuis toujours à une forte activité de trafic international, cette zone de passage stratégique et historique des flux commerciaux légaux ou illégaux, semble de plus en plus imperméable aux trafiquants et aux bandits de grands chemins qui prospéraient du temps des incursions du Polisario.
Les opérations fructueuses contre les tentatives de trafic se font de plus en plus nombreuses. Cela est dû à une meilleure maîtrise de la zone depuis que les Forces Armées Royales ont libéré le poste d’El Guerguerat, le 13 novembre 2020. En plus de sa plus-value militaire, l’intervention des FAR a eu également des effets positifs sur le contrôle du passage de marchandises, sachant que cette zone a été longtemps un carrefour de prédilection pour les passeurs et les narcotrafiquants. Finie l’époque de “Kandahar” où la contrebande et le trafic illégal foisonnaient sur fond du désordre que faisait régner le Polisario lorsqu’il bloquait la circulation.
Ce carrefour est désormais barricadé et mieux contrôlé, grâce aux travaux de réaménagement et de remblai effectués au lendemain de la libération du poste-frontalier, dont les effets continuent de se faire encore sentir jusqu’à aujourd’hui.