Comme à l’accoutumée, Facebook publie un rapport sur le contenu largement consulté et les liens les plus partagés apparaissant dans les fils d’actualité des internautes au cours du dernier trimestre. Mercredi dernier donc, le réseau social a publié son rapport du deuxième trimestre de l’année 2021, intitulé « Les contenus les plus largement visionnés : ce que les gens voient sur Facebook » avec en haut du classement des publications sur le football, les recettes de cuisine et les restrictions relatives au Covid-19.
La question qui s’impose : qu’en est-il du premier trimestre ? La société de médias sociaux aurait enterré un rapport similaire qu’elle avait préparé pour les trois premiers mois de 2021, selon un article publié vendredi par le New York Times.
Vous pouvez probablement deviner la raison : Facebook n’était pas ravi des résultats ! En fait, le rapport précédent, que le Times a examiné dans son intégralité aux côtés des e-mails internes des dirigeants qui ont été partagés avec le journal, a révélé que le lien le plus consulté du premier trimestre était un article publié sur Chicago Tribune et intitulé « Un docteur en bonne santé meurt deux semaines après avoir reçu le vaccin contre le Covid-19 ; les CDC enquêtent ».
Les CDC, Centres de prévention et de contrôle des maladies, sont la principale agence fédérale de santé publique du pays. Ce titre avait été vu par près de 54 millions de comptes Facebook aux Etats-Unis. Le même rapport a également révélé que la page Facebook d’un site Web d’extrême droite qui colportait des théories du complot et de la désinformation était la 19ème page la plus populaire de la plate-forme au cours des premiers mois de 2021.
Certains internautes vont même jusqu’à avancer une « intervention présidentielle » subreptice dans cette décision de non-publication dudit rapport. Le rapport était sur le point d’être rendu public jusqu’au moment où les dirigeants se sont inquiétés de la possibilité qu’il crée un cauchemar en matière de relations publiques.
Réagissant à cela, le porte-parole de Facebook, Andy Stone, s’est confié au Times : « Nous avons envisagé de rendre le rapport public plus tôt, mais comme nous savions l’attention qu’il attirerait, exactement comme nous l’avons remarqué cette semaine, des correctifs ont été apportés et nous avons décidé de ne pas le publier ».
Enfin, dans notre ère dite à juste titre de « post-vérité » où l’exactitude des informations et des contenus de savoir entre souvent en conflit avec des considérations politiciennes et financières patentes, la prudence est plus que jamais requise aujourd’hui, car il en va de notre vie.
La question qui s’impose : qu’en est-il du premier trimestre ? La société de médias sociaux aurait enterré un rapport similaire qu’elle avait préparé pour les trois premiers mois de 2021, selon un article publié vendredi par le New York Times.
Vous pouvez probablement deviner la raison : Facebook n’était pas ravi des résultats ! En fait, le rapport précédent, que le Times a examiné dans son intégralité aux côtés des e-mails internes des dirigeants qui ont été partagés avec le journal, a révélé que le lien le plus consulté du premier trimestre était un article publié sur Chicago Tribune et intitulé « Un docteur en bonne santé meurt deux semaines après avoir reçu le vaccin contre le Covid-19 ; les CDC enquêtent ».
Les CDC, Centres de prévention et de contrôle des maladies, sont la principale agence fédérale de santé publique du pays. Ce titre avait été vu par près de 54 millions de comptes Facebook aux Etats-Unis. Le même rapport a également révélé que la page Facebook d’un site Web d’extrême droite qui colportait des théories du complot et de la désinformation était la 19ème page la plus populaire de la plate-forme au cours des premiers mois de 2021.
Certains internautes vont même jusqu’à avancer une « intervention présidentielle » subreptice dans cette décision de non-publication dudit rapport. Le rapport était sur le point d’être rendu public jusqu’au moment où les dirigeants se sont inquiétés de la possibilité qu’il crée un cauchemar en matière de relations publiques.
Réagissant à cela, le porte-parole de Facebook, Andy Stone, s’est confié au Times : « Nous avons envisagé de rendre le rapport public plus tôt, mais comme nous savions l’attention qu’il attirerait, exactement comme nous l’avons remarqué cette semaine, des correctifs ont été apportés et nous avons décidé de ne pas le publier ».
Enfin, dans notre ère dite à juste titre de « post-vérité » où l’exactitude des informations et des contenus de savoir entre souvent en conflit avec des considérations politiciennes et financières patentes, la prudence est plus que jamais requise aujourd’hui, car il en va de notre vie.
Achraf EL OUAD