Face à la compétition croissante représentée par des technologies telles que ChatGPT et Gemini, Meta a répliqué en dévoilant un nouveau rival redoutable. Le 18 avril, le géant américain a levé le voile sur Llama 3, son dernier modèle d’intelligence artificielle (IA).
Succédant à Llama 2, cette nouvelle itération démontre des performances de pointe sur diverses références industrielles et offre des capacités améliorées, notamment un raisonnement plus élaboré, comme l’a annoncé Meta dans un article de blog.
Dorénavant, ce modèle alimente Meta AI, l’assistant virtuel dévoilé lors de la conférence Meta Connect en septembre dernier. Meta affirme que grâce à Llama 3, Meta AI est désormais « plus intelligent, plus rapide et plus amusant que jamais », comme l’a déclaré la société dans un communiqué. Disponible sur les plateformes de Meta telles que Facebook, Insta- gram, Messenger et Whatsapp, Meta offre aux utilisateurs la possibilité de rechercher des informations sur l’ensemble du web « sans avoir à passer d’une application à l’autre ».
Par exemple, une personne planifiant des vacances au ski sur Messenger peut directement demander à l’assistant de trouver des vols pour une destination spécifique sans quitter l’application.
Meta AI peut également être sol- licité pour des activités sociales, comme obtenir des recommandations de restaurants pour une sortie entre amis ou trouver des concerts, directement depuis les plateformes de Meta.
Sur Facebook, l’assistant est accessible dans le fil d’actualité, permettant aux utilisateurs d’obtenir plus d’informations sur une publication qui les intéresse directement depuis celle-ci. En outre, Meta a lancé une version web (meta.ai) de son assistant pour aider les internautes à accomplir des tâches sur leur ordinateur.
Par exemple, les utilisateurs peuvent utiliser ce site pour rédiger des e-mails professionnels ou résoudre des problèmes de mathématiques. Pour l’instant, cette nouvelle incarnation de Meta AI est disponible uniquement en anglais et dans certains pays sélectionnés, notamment les États-Unis, l’Australie, la Jamaïque, Singapour et le Zimbabwe.
Succédant à Llama 2, cette nouvelle itération démontre des performances de pointe sur diverses références industrielles et offre des capacités améliorées, notamment un raisonnement plus élaboré, comme l’a annoncé Meta dans un article de blog.
Dorénavant, ce modèle alimente Meta AI, l’assistant virtuel dévoilé lors de la conférence Meta Connect en septembre dernier. Meta affirme que grâce à Llama 3, Meta AI est désormais « plus intelligent, plus rapide et plus amusant que jamais », comme l’a déclaré la société dans un communiqué. Disponible sur les plateformes de Meta telles que Facebook, Insta- gram, Messenger et Whatsapp, Meta offre aux utilisateurs la possibilité de rechercher des informations sur l’ensemble du web « sans avoir à passer d’une application à l’autre ».
Par exemple, une personne planifiant des vacances au ski sur Messenger peut directement demander à l’assistant de trouver des vols pour une destination spécifique sans quitter l’application.
Meta AI peut également être sol- licité pour des activités sociales, comme obtenir des recommandations de restaurants pour une sortie entre amis ou trouver des concerts, directement depuis les plateformes de Meta.
Sur Facebook, l’assistant est accessible dans le fil d’actualité, permettant aux utilisateurs d’obtenir plus d’informations sur une publication qui les intéresse directement depuis celle-ci. En outre, Meta a lancé une version web (meta.ai) de son assistant pour aider les internautes à accomplir des tâches sur leur ordinateur.
Par exemple, les utilisateurs peuvent utiliser ce site pour rédiger des e-mails professionnels ou résoudre des problèmes de mathématiques. Pour l’instant, cette nouvelle incarnation de Meta AI est disponible uniquement en anglais et dans certains pays sélectionnés, notamment les États-Unis, l’Australie, la Jamaïque, Singapour et le Zimbabwe.
