Ce n’est plus un secret : au Maroc, depuis bien des décennies, l’écosystème entrepreneurial féminin progresse à vue d’œil. Porté par une nouvelle Constitution qui garantit l’égalité des sexes sans réserve, le tissu entrepreneurial se féminise car l’insertion de la femme dans cet environnement est une condition sine qua non de tout progrès économique qui se respecte.
Il faut dire que depuis 1999, les initiatives visant à autonomiser les femmes avides d’indépendance se sont multipliées à tour de bras.
De l’éducation préscolaire, à l’agriculture biologique, l’économie circulaire et les énergies renouvelables en passant par la généralisation du système de santé... les femmes marocaines s’impliquent aujourd’hui fortement dans le leadership de projets à fort impact environnemental et social. C’est ce que l’on appelle l’économie sociale et solidaire (ESS).
Ainsi, en un quart de siècle, elles ont enclenché une dynamique de changement social visant à faire évoluer la société dans sa globalité. Elles ont démontré, en étant placées au cœur d’un écosystème, leur efficacité dans leur propre pays tout en se dévouant au service de l’humain, de la société et de l’environnement.
Mais la difficulté majeure réside dans la fragmentation de l’écosystème de l’entrepreneuriat social féminin, et ce, en raison du manque de transversalité dans l’arsenal juridique, ce qui crée un goulot d’étranglement dans la recherche d’incubateurs et d’investisseurs.
Ces éléments se révèlent peu favorables à l’intégration des femmes dans un écosystème efficace et obèrent leurs efforts pour travailler en synergie afin d'atteindre les résultats escomptés par quelque approche égalitaire que ce soit.
La loi-cadre de l’économie sociale et solidaire est par exemple attendue de pied ferme, alors que le Département de l’Artisanat et de l’Economie sociale et solidaire avait lancé, il y a un an, le processus de restructuration et de renforcement du cadre juridique régissant ce secteur.
Il faut dire que depuis 1999, les initiatives visant à autonomiser les femmes avides d’indépendance se sont multipliées à tour de bras.
De l’éducation préscolaire, à l’agriculture biologique, l’économie circulaire et les énergies renouvelables en passant par la généralisation du système de santé... les femmes marocaines s’impliquent aujourd’hui fortement dans le leadership de projets à fort impact environnemental et social. C’est ce que l’on appelle l’économie sociale et solidaire (ESS).
Ainsi, en un quart de siècle, elles ont enclenché une dynamique de changement social visant à faire évoluer la société dans sa globalité. Elles ont démontré, en étant placées au cœur d’un écosystème, leur efficacité dans leur propre pays tout en se dévouant au service de l’humain, de la société et de l’environnement.
Mais la difficulté majeure réside dans la fragmentation de l’écosystème de l’entrepreneuriat social féminin, et ce, en raison du manque de transversalité dans l’arsenal juridique, ce qui crée un goulot d’étranglement dans la recherche d’incubateurs et d’investisseurs.
Ces éléments se révèlent peu favorables à l’intégration des femmes dans un écosystème efficace et obèrent leurs efforts pour travailler en synergie afin d'atteindre les résultats escomptés par quelque approche égalitaire que ce soit.
La loi-cadre de l’économie sociale et solidaire est par exemple attendue de pied ferme, alors que le Département de l’Artisanat et de l’Economie sociale et solidaire avait lancé, il y a un an, le processus de restructuration et de renforcement du cadre juridique régissant ce secteur.