Le 15 mars marque la Journée internationale contre l’islamophobie, instaurée par l’Assemblée générale des Nations Unies en 2022. Cette date a été choisie en mémoire de l’attentat contre deux mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande en 2019, qui avait fait 51 morts. L’objectif de cette journée est de sensibiliser à la montée des discriminations envers les musulmans et de promouvoir une culture de tolérance et de paix.
En France, cette commémoration intervient dans un contexte de tensions accrues autour des questions religieuses et identitaires. Depuis plusieurs années, l’islamophobie est dénoncée par de nombreux observateurs comme un phénomène structurel, renforcé par des décisions politiques et des discours médiatiques polarisants.
Les crimes ou délits à caractère raciste, xénophobe et antireligieux ont augmenté de 11% en 2024 avec 9 350 recensés, après une forte hausse déjà enregistrée en 2023, selon un rapport du service statistique du ministère de l'Intérieur (SSMSI) rendu public vendredi 14 mars.
Le SSMSI fait également état de 6 985 contraventions pour les mêmes motifs (+6% par rapport à 2023).
‘’La majorité de ces crimes et délits comme de ces contraventions, enregistrés par les forces de sécurité, sont des injures, provocations ou diffamations’’, précise le SSMSI dans son communiqué repris par France info.
En France, cette commémoration intervient dans un contexte de tensions accrues autour des questions religieuses et identitaires. Depuis plusieurs années, l’islamophobie est dénoncée par de nombreux observateurs comme un phénomène structurel, renforcé par des décisions politiques et des discours médiatiques polarisants.
Les crimes ou délits à caractère raciste, xénophobe et antireligieux ont augmenté de 11% en 2024 avec 9 350 recensés, après une forte hausse déjà enregistrée en 2023, selon un rapport du service statistique du ministère de l'Intérieur (SSMSI) rendu public vendredi 14 mars.
Le SSMSI fait également état de 6 985 contraventions pour les mêmes motifs (+6% par rapport à 2023).
‘’La majorité de ces crimes et délits comme de ces contraventions, enregistrés par les forces de sécurité, sont des injures, provocations ou diffamations’’, précise le SSMSI dans son communiqué repris par France info.