Au terme d’un large sondage organisé par le célèbre média en ligne Pubity, qui a mobilisé une communauté de plus de deux millions de votants sur sa page Instagram, la cuisine marocaine a été sacrée comme étant la meilleure au monde, devant la cuisine mexicaine qui a remporté 40% des suffrages, contre 60% pour la marocaine. L’annonce de cette victoire de notre gastronomie nationale a été faite par le célèbre chef britannique d’origine écossaise Gordon Ramsay réputé pour ses émissions télévisées à succès, sa multitude de restaurants disséminés aux quatre coins du globe et les nombreuses étoiles Michelin et autres décrochées au fil de sa longue et riche carrière.
Ramsay, dont les followers avoisinent les 18 millions et qui connaît bien notre cuisine pour avoir organisé maints périples gastronomiques sous nos cieux au cours desquels il a eu le loisir de découvrir et de goûter les subtilités de notre art culinaire, s’est donc associé à Pubity dont la communauté dépasse les 120 millions pour dire au monde toute l’estime qu’il portait à notre ancestral savoir-faire gastronomique. C’est dire le prodigieux coup de pub non seulement pour la cuisine marocaine, mais également pour l’image du Royaume, dont ne pouvait rêver ni le ministère du Tourisme, ni celui de la Culture, ni l’ONMT.
La question qui se pose maintenant est celle de savoir de quelle cuisine marocaine il s’agit. Aussi riche que plurielle, notre gastronomie se décline en effet sous diverses facettes. Il y a la cuisine des fêtes et des grands jours avec des plats fastueux comme le méchoui, la Pastilla et la Rfissa dont raffole particulièrement Ramsay. Il y a la cuisine de tous les jours dont le plus célèbre représentant est le Tajine sous ses diverses formes. Et il y a enfin la cuisine simple, saine et bonne dite du peuple, concoctée avec amour par les «mamas» marocaines à base de denrées relativement accessibles comme les légumes et les féculents, ainsi que de protéines de moins en moins low-cost comme la sardine et les abats.
Au moment où les prix des viandes rouges comme blanches tutoient les sommets, c’est justement cette cuisine riche en fibres végétales et pauvre en protéines animales, et donc très bénéfique pour la santé car peu encline à provoquer l’obésité et toutes sortes de méchantes pathologies, qui devrait être célébrée et réhabilitée à sa juste valeur. On attend donc du grand chef Gordon Ramsay de continuer son œuvre utile en prêchant à travers ses diverses plateformes les bienfaits de notre délicieuse «Bissara», de nos tajines «Dwaz» à base de légumes, et surtout de ces innombrables salades qui ornaient jadis nos tables sous forme d’entrées tellement nourrissantes et délicieuses qu’elles réussissaient l’exploit de reléguer la viande au rang de denrée accessoire.
Ramsay, dont les followers avoisinent les 18 millions et qui connaît bien notre cuisine pour avoir organisé maints périples gastronomiques sous nos cieux au cours desquels il a eu le loisir de découvrir et de goûter les subtilités de notre art culinaire, s’est donc associé à Pubity dont la communauté dépasse les 120 millions pour dire au monde toute l’estime qu’il portait à notre ancestral savoir-faire gastronomique. C’est dire le prodigieux coup de pub non seulement pour la cuisine marocaine, mais également pour l’image du Royaume, dont ne pouvait rêver ni le ministère du Tourisme, ni celui de la Culture, ni l’ONMT.
La question qui se pose maintenant est celle de savoir de quelle cuisine marocaine il s’agit. Aussi riche que plurielle, notre gastronomie se décline en effet sous diverses facettes. Il y a la cuisine des fêtes et des grands jours avec des plats fastueux comme le méchoui, la Pastilla et la Rfissa dont raffole particulièrement Ramsay. Il y a la cuisine de tous les jours dont le plus célèbre représentant est le Tajine sous ses diverses formes. Et il y a enfin la cuisine simple, saine et bonne dite du peuple, concoctée avec amour par les «mamas» marocaines à base de denrées relativement accessibles comme les légumes et les féculents, ainsi que de protéines de moins en moins low-cost comme la sardine et les abats.
Au moment où les prix des viandes rouges comme blanches tutoient les sommets, c’est justement cette cuisine riche en fibres végétales et pauvre en protéines animales, et donc très bénéfique pour la santé car peu encline à provoquer l’obésité et toutes sortes de méchantes pathologies, qui devrait être célébrée et réhabilitée à sa juste valeur. On attend donc du grand chef Gordon Ramsay de continuer son œuvre utile en prêchant à travers ses diverses plateformes les bienfaits de notre délicieuse «Bissara», de nos tajines «Dwaz» à base de légumes, et surtout de ces innombrables salades qui ornaient jadis nos tables sous forme d’entrées tellement nourrissantes et délicieuses qu’elles réussissaient l’exploit de reléguer la viande au rang de denrée accessoire.
